Selon plusieurs rapports et messages d’alertes déjà faits par les mouvements citoyens et la synergie des organisations de la société civile Mudusa-Mumosho, plusieurs personnes ont été poussées de quitter leurs ménages, fuyant la guerre et ses effets, des vies humaines ont été fauchées injustement, des activités locales ont été neutralisées, certains enfants ont été appelés à cesser d’étudier de peur qu’ils ne meurt s, des jeunes filles violées, des structures sanitaires dépouillées de tous leurs avoirs, des médicaments emportés par les belliqueux, des spécialistes sanitaires ligotés et les uns tués ; des drames alarmants déjà enregistrés dans la partie Nyantende et ses environs.
Après avoir dépouillé nyangezi de tous ses habitants, les assaillants tentent désormais de s’accaparer de Nyantende où vivent des milliers d’habitants, où oeuvrent multiples structures sanitaires pour en faire un champ de bataille, sans raison aucune et celà, dans le seul but de trouver un cadre approprié pour décimer les pauvres habitants et surtout les jeunes désoeuvrés qualifiés de combattants wazalendo.
Des combats s’intensifient dans plusieurs villages de Nyantende, des éléments de l’Alliance Fleuve Congo à la recherche des wazalendo et vice versa, des dégâts rodent,paniques et terreur semées.
Comme si la Population est l’une des parties prenantes, les éléments qui s’opposent manquent de s’attaquer entre eux pour vivre leurs rêves et s’en prennent injustement aux habitants, aux patients dans des structures sanitaires, aux cadres de base pionniers du développement local, aux pasteurs et à toutes les couches sociales.
En Février, le Mois de l’entrée eschatologique des forces de l’Alliance Fleuve Congo-M23 à Bukavu et ses environs, la zone de santé de Nyantende avait alerté les autorités tant Provinciales, Nationales et humanitaires sur le manque caduque des médicaments et autres biens nécessaires pour le soin des malades dans cette contrée, non seulement suite à la fermeture des banques et barrières, mais et surtout de suite des pillages que plusieurs structures sanitaires partenaires ont subi.
Il y a également quelques mois, un chef de village avait été enlevé et porté à destination inconnue par les assaillants, sous prétexte qu’il collaborait avec l’une des parties conflictuelles, comme si être muzalendo serait un sacrilège.
Même les prêtres, hommes de Dieu sont ligotés et dépouillés quotidiennement.
Dans le même angle, la Paroisse Notre-Dame du Congo de Nyantende, dirigée par les frères Mineurs franciscains ont subi une incursion perpétrée injustement, durant les heures nocturnes par les ennemis de la Paix.
Des engins militaires y avaient été abandonnés malheureusement après opérations comme pour dire aux hommes de l’église de les garder jalousement.
Face à cette situation désastreuse et d’atteinte à la vie des hommes, il serait mieux de prendre conscience de l’ état actuel des habitants et freiner tout mécanisme stérile et insipide tendant à faire de la zone de Nyantende un lieu où des affrontements doivent être menés, afin de sécuriser d’autant plus que utile, l’hôpital de Nyantende et tous ses patients victimes quotidiennement de la méchanceté.
Mardi 15 Juillet 2025, des patients ont été ligotés à Nyantende, des médecins ligotés et plusieurs dégâts commis à l’hôpital.
Quel est cet agenda caché ?
Au matin de cette incursion, des éléments de l’Alliance Fleuve Congo ont été sur le lieu pour tenter d’apaiser les habitants mais hélas, trop c’est trop, on n’en pouvait plus.
L’urgence s’avère importante que la communauté internationale initie des mécanismes urgents, drastiques et appropriés pour sécuriser la zone de Nyantende et que tous les combats et affrontements entre les combattants wazalendo et le M23 cessent sans condition aucune.
























































