MmC’est le Bureau de Coordination de la société civile du sud Kivu par l’entremise de son Vice Président et Président ad intérim, Samy Takimbula qui a modéré ces assises déroulées en la salle Concordia de l’archevêché de Bukavu.
L’activité a réuni plusieurs mouvements citoyens en province, des structures de la société civile du sud Kivu, des leaders religieux, des Journalistes et plusieurs défenseurs des droits humains sous le thème : tous pour un dialogue inclusif gage d’une Paix durable en république démocratique du Congo.
Pour Madame Chimène Mupenzi, Coordonnatrice provinciale des centres de formation professionnelle au sud Kivu, cette procédure connaît la participation de plusieurs acteurs sociaux clés des questions et débats de société en province et consiste à réunir tous les idéaux et contributions des habitants pour un même langage.
Selon elle, le bon fonctionnement des institutions étatiques sur toute l’étendue de l’Est et l’obtention d’une paix durable : sont entre autres les buts ultimes que s’assigne cette initiative tant saluée par elle tout d’abord et d’autres congolais.
Elle a appelé à l’urgence d’une fin positive qui suppose la considération de toutes les recommandations fournies, malgré la montée en puissance des exactions et les formes existantes des violences, appelant également à la participation des femmes et jeunes filles dans la recherche de la Paix et toutes les démarches y afférentes.
Chimène Mupenzi a aussi misé sur l’urgence de travailler sur le anéantissement de l’intensification des discours de haine, la discrimination et le tribalisme; mécanismes moteurs pour un retour équitable de la Paix.
Elle a dit être satisfaite d’une contribution faite par Un pasteur ayant pris part à ces assises qui a affirmé qu’il s’agissait d’une démarche pour mettre en avant l’importance d’une démarche interactive ouverte à toutes les communautés.
Les parties prenantes pensent que la paix ne pourra se construire qu’à travers un dialogue ouvert, impliquant toutes les composantes sociales des autorités locales aux leaders communautaires, en passant par les jeunes, les femmes et les groupes marginalisés, cite un confrère.
Christian Balemba























































