À cause de la montée du carburant, certains motocyclistes appelés communément motards de la ville de Bukavu en particulier et de la province du Sud-kivu en général préfèrent aller acheter de l’essence, mazout et pétrole dans des stations de services laissant ainsi les détaillants qui n’ont pas une grande quantité du carburant.
Cette situation pousse ces vendeurs à se lamenter en prenant en accusation le gouvernement provincial, qui selon ces derniers, devrait tout faire pour trouver une solution en mettant en baisse le prix de l’essence.
Dans un entretien avec kivuavenir.com c mardi 22 février 2022, ces derniers indiquent que leurs clients qui sont des motards pensent qu’iks ne peuvent pas acheter ce combustible à un prix un peu élevé du fait que dans des stations il y a une régression par rapport aux détaillants.
Sur ce sujet des questions se posent voulant savoir qu’avec cette façon de faire où les clients ne viennent plus auprès d’eux, comment ils vont trouver le rendement face à l’absence des leurs partenaires ( motards) qui disent que le prix est à la hausse
L’augmentation de cette matière n’est pas la faute de ces derniers parce que d’après eux, au paravent ils achetaient un litre de carburant à 2000 francs congolais mais du coup, le prix a monté à 2300, 2500 jusqu’à arriver à 2700 francs congolais, chose qui les pousse à revendre à 2900 voir 3000 francs congolais.
Les motocyclistes ne supportent coup qui est pour eux exorbitant et les poussent directement aux stations où on va leurs baisser un peu.
“Nous nous demandons comment nous aurons de rendement dans notre marchandise tant que nos clients ( motards) n’achètent. Plus pour eux, c’est à cause du rehaussement du prix. Ces derniers en voyant la hausse du prix directement ils prennent fuite pour aller acheter aux différentes stations de la ville. La réponse la plus classique n’est pas trouvé à cette question car les vendeurs que du carburant que nous sommes, nous nous disions aussi que nous devons augmenter le prix moyennant le prix d’achat auquel nous faisont face sur le lieu”, ont-ils dit.
Ils ajoutent à travers ces mots,
“Nous vendons le gaz telque nous avons effectuer l’achat. C’est pourquoi aussi nous devons vendre à un prix rehaussable pour maximiser les recettes . Mais aussi en tant que vendeurs nous pouvons être contents si on réduit le prix d’achat”.
Ils demandent aux autorités ayant l’économie dans leurs attributions de chercher comment trouver une solution à ce problème du fait que c’est là où ils trouvent la ration de leurs enfants et familles.
L’augmentation de ce dernier pousse les chauffeurs et motards à hausser aussi le prix du transport.
Valentin Kalwira, stagiaire



















































