Le Journal hebdomadaire Le Souverain Libre sors un nouveau numero beaucoup lu et apprécié, dans son 262e, ce journal compatit avec les sinistrés du Volcan Nyiragongo, plaident les causes de la femme mais également interpelle le politique à la bonne gestion.
A sa une comme son éditorial, le Souverain Libre intitule Goma fuit l’éruption et craint le pire. Ici, il est question de montrer qu’avant la catastrophe naturelle du 22 mai suivie de multiples conséquences dont le déplacement massif de la population en sens dispercés, l’Observatoire Volcanologique de Goma a émit le 10 mai des avertissements. Le mouvement sismique à Nyiragongo augmente les risques d’une éruption. La Banque mondiale a supprimé pourtant le financement des scientifiques depuis 2020. Le prophète est souvent négligé chez soi. Des experts volcanologues accourent de par le monde. A quelque chose malheur peut être bon édite le Souverain Libre.
Abordant le sujet de respect du genre, le journal titre Les femmes paient les frais pour ne rien hériter.
Dans ce chapitre il sied de signaler que les femmes de Nyabibwe dans Kalehe au Sud-Kivu, paient deux caisses de bière et deux têtes de chèvre pour les garçons et hommes lors des cérémonies de succession sans rien hériter. Elles sont de la lignée paternelle des défunts et vont former d’autres familles, ce qui crée un conflit entre les coutumes rétrogrades et les lois du pays rencherit l’hébdomadaire.
Dans le même chapitre, Le Souverain Libre écrit Les survivantes des viols craignent perdre les fiancés et les maris.
Ces dernières ne dénoncent pas les boureaux car elles ont peur de ne plus avoir de copain ou de fiancé et ne plus être prises en mariage. Les médecins leur donnent des médicaments pour éviter des grossesses indésirables. Il a êté révelé que 169 cas des violences basées sur le genre ont été repertoriés à Kasheke dans le territoire de Kalehe en avril. Ces cas font une moyenne de 24 cas de viols en 72 heures ou en moins de 3jours, a raporté le docteur Benjamin Kaharamba cité par le journal au cours de sa revue de presse participative du 22 mai. Le chef de groupement de Kasheke en entretien avec un reporter de l’hébdomadaire, Lushombo Kamirogosa, exhorte la population et les femmes en particulier à dénoncer les cas pour espérer en finir avec les violences basées sur le genre et les viols.
Dans sa page 5, ce récent numéro jete un coup d’oeil particulier sur les infrastructures routières dans la ville de Bukavu en titrant Cinq longues années pour asphalter trois petis kilomètres de route.
Ici, le journal revient sur le chantier routier Major Vangu-Ruzizi 2 qui ressemble à un tonneau des Danaïdes. Au journal de rappeler que les pétroliers versent des millions de dollars mais la réhabilitation évolue moins vite que la tortue. Dans ce projet, les cantonniers réclament des arriérés des mois des salaires impayés alors que l’exécuteur des travaux évoque des problèmes plus financiers que techniques. Le gouvernement menace rompre le contrat et aller en justice conclut l’hébdomadaire. Suite au nombre et qualité d’information contenue dans ce nouveau numéro, le média en ligne Kivuavenir.com, n’a pas tout repris dans cette revue afin de vous laisser le temps de contempler le reste de ces information dans ce journal qui ne coûte que 1$ américain que vous pouvez dépasser pour suppléer l’action de ces humanitaires du Souverain Libre. Pour ceux qui ignorent sa localisation tapez juste le 0972694353 mais également ils sont joignables au 0999220585 abonnez-vous à ce Journal pour lui doter la qualité d’une presse libre et non inféodée du Kivu comme il l’a toujours été.
Ishara Masirika.