Après plusieurs défilés des hommes politiques aux différents centres d’enroulement, l’homme du développement le Professeur Gustave Mushagalusa Nachigera a rempli son devoir civique, en s’enrôlant au centre de l’Institut Avenir de Panzi dans la Commune d’Ibanda, ce samedi 4 mars 2023.
A cette occasion, ce centre du quartier Panzi a connu une journée spéciale depuis le début de cette opération, et cela pour avoir accueilli un homme chevronné de haut rang.
Haut cadre du parti politique « Ensemble pour la République », parti cher à Moïse Katumbi Tchapwe, le professeur Gustave Mushagalusa Nachigera etait accompagné d’une foule immense de la population avec des effigies du parti Ensemble pour la République venant des différents coins de la ville de Bukavu.
Après avoir eu sa carte d’électeur, le Professeur Mushagalusa Nacigera Gustave et recteur de l’Université Évangélique en Afrique UEA n’a pas caché sa joie.
“Je suis congolais du sang et je l’ai demeure car tout a commencé en 2006, 2011, 2018 jusqu’en 2023 pour montrer que ma voix n’a jamais manqué une valeur c’est pourquoi j’encourage la population a faire d ‘eux même pour que nous décidions de l’avenir de notre pays au moment venu”, at-il dit.
Comme citoyen congolais, ce haut cadre du parti politique Ensemble pour la République a lancé un signal fort pour le développement et le bien-être de la population comme un combat que la population doit partager pour booster le développement de ce pays.
Interrogé à plusieurs questions, le Professeur Mushagalusa Nacigera Gustave a éclairci le monde que s’enrôler ne signifie pas être candidat mais le moment opportun, la réalité sera connue de tous, il faut laisser le temps au temps à-il défini.
Par ailleurs, la question préoccupante aux processus d’enrôlement a été relevée par le Professeur concernant la lanteur d’enregistrement des électeurs qui font la une sur toute l’étendue de la République Démocratique du Congo où la province du Sud-Kivu n’est pas épargné.
Après l’enrôlement, le professeur s’est rendu compte que les lamentations de la population serait une réalité en constatant que le nombre des machines mis en disponibilité au centre de l’institut Avenir ne suffit pas pour la population de Panzi avec trois machines, dont l’une en panne.
” Au quartier Panzi nous n’avons que quatre centres d’enroulements pour une population de 350.000 habitants, trois machines fois quatre ça fait douze machines et si nous la moyenne déjà de la population font chaque machine enrôle 100 personnes on atteindra jamais 350.000 personnes dans le temps qui nous est imparti”, regrette le Professeur Gustave Mushagalusa.
Au vu de cette situation, ce dernier lance un cri d’alarme à la Commission Electorale Nationale Indépendante CENI deprolonger et si possible d’augmenter le nombre des machines pour permettre à la population de s’enrôler, afin non seulement pour la carte mais aussi le moment venu de se choisir les candidats de leur choix.
Animé d’amour, ce haut cadre de Ensemble pour la République, dit l’homme de développement n’as pas oublié de rappeler à la CENI que les femmes enceintes et certaines mamans avec leurs bébés au dos doivent être prises en considération en passant toute la journée au centre serait pour elles un handicap.
Il ajoute par ailleurs que ce n’est-ce même pas les gens de la CENI qui handicapent la vitesse d’enrôlement mais plutôt les moyens mis en place et celà contrairement aux élections de 2018 où on avait assez des machines.
Joël Mugisho