Ceci dans l’objectif de leurs aider à mieux préparer leur futur et contribuer au développement du pays.
Cet appel pesant émane de Boris Borauzima, membre du Comité Local de Gouvernance Participative, jeudi 12 juin lors d’une interview accordée à une reporter de Kivuavenir.
A cette occasion, ce notable du quartier Panzi a tracé largement les différents défis qui bloquent la jeunesse à se développer.
Il a fait savoir que la drogue, sous ses différentes formes créé un dépendance outrée dans la personne, bloque totalement l’épanouissement physique, mental et psychique, freine le développement économique de la jeunesse, accroupi les relations avec les parents et empêche le développement scientifique et Scolaire.
Il appelle tous les habitants de Bukavu et spécifiquement ceux de son quartier à penser autrement.
Dans un monde déjà marqué par les traumatismes et l’excès des produits stupéfiants, ce notable lance un message battant à tous les responsables des écoles et autres milieux éducatifs, à relancer les campagnes de sensibilisation sur le respect et la sauvegarde de la vie humaine par des bonnes pratiques et initier des mécanismes de lutte contre le recours à la drogue devant toute situation émotionnelle.
Boris Borauzima décourage également les parents qui poussent leurs enfants à la drogue et même au chanvre quand eux-mêmes en prennent.
Celui-ci affirme que le pays a plus besoin des jeunes consciencieux, novateurs, travailleurs et responsables pour relever ses différents défis, faisant allusion à la place de la jeunesse Congolaise dans la restauration de la Paix et la sauvegarde des valeurs patriotiques.
Il appelle à la fin de l’importation de la drogue, sa commercialisation et sa distribution dans la ville de Bukavu, malgré le prix que celà pourrait coûter, afin de former une jeunesse solide et consciente.