Pendant que ces derniers mérites au moins une protection particulière et non l’inverse “Propos de Amisi Daniel.Pour lui, Les anciens combattants, les blessés de guerre ensemble avec les veuves militaires de la province du Sud-Kivu en RDC sont victimes de la part du gouvernement congolais et appellent à l’amélioration de leurs conditions sociales. Ils l’ont fait savoir ce 12 Septembre 2020 dans une interview exclusive accordée à un reporter de Kivu-Avenir.
Pour Ahisi Walonga Daniel, l’un de ces victimes d’environs 73 ans, avec 57ans de service sous le drapeau congolais, lieutenant de formation au niveau de Luloabourg aujourd’hui appelé kananga, dans FARDC responsable de12 enfants non scolarisés.
Ses allocations ne sont passées que de 10.00O Francs Congolais à 30.000 Francs Congolais, par mois. Pour eux il est difficile de survivre moyennant cette somme, ce pourquoi ils demandent l’implication personnelle du commandant suprême de l’armée congolaise, chef de l’état Monsieur Félix Tshisekedi Tshilombo aussi souhaitent voir un temps d’échange avec la nouvelle autorité militaire de la 33eme région pour lui saisir de la situation qu’ils traversent.
« La situation est tellement catastrophique. Nous sommes complètement oubliés. Aujourd’hui, ils nous paient 30.000francs. Quelle reconnaissance ? Moi j’étais sur le front lors de la guerre de 1964 avec Pierre Mulele, après ma formation à Kitona dans le bas Congo, une année après il ya eu encore la guerre de de Diaboss à kisangani en 1965, deux ans après une troisième guerre de Jean secram en 1967,la guerre de kamanyola au sud kivu en 1973, en 1977 une autre guerre de 80 Jours à Lubumbashi pour défendre la Gécamines qui été le poumon du zaïre à l’époque, enfin en 2004 dans la guerre de Mutebusi à Bukavu qui est ma dernière guerre jusqu’au point de payé le prix de ma jambe droite jusqu’à ces jours ,je suis dans les oubliettes totale , avec mes 12 enfants, qui n’étudient pas à cause de la pauvreté. Si les autorités peuvent se souvenir à nouveau de nous dans cette vie misérable que nous vivons qu’ils majorent notre salaire pour nous permettre de survivre », dit le lieutenant Amisi.
Notre source renseigne qu’ils veulent voir l’implication personnelle du commandant de la 33 région militaire le général BOB KILUBI en fin de trouvé une solution durable à ce problème qu’ils traversent aujourd’hui.
La Rédaction