C’était en présence de plusieurs personnalités politiques nationales et provinciales à la satisfaction de tous.
Il a émis le vœu longtemps exprimé par la population et par les armateurs de bukavu,victimes des accidents de navigation à répétition il y a de cela 10 ans.
Marc malago kashekere a rappelé la dernière catastrophe lacustre qui avait,en avril 2019, endeuillé plusieurs familles du territoire de kalehe,sinistre qui avait obligé le chef de l’état félix antoine tshisekedi tshilombo à interrompre sa visite dans la province sœur du nord kivu pour venir compatir avec les familles des victimes.
A cette occasion,a souligné marc malago kashekere,vice gouverneur et gouverneur intérimaire du sud kivu,des voix s’étaient encore élevées pour traduire cette préoccupation au président de la république,qui avait promis de s’impliquer personnellement dans la sécurisation des voies de navigation intérieure sur tout l’ensemble du territoire national.
Aujourd’hui,a martelé marc malago kashekere,que tout le monde est heureux que la province du sud kivu soit parmi les premiers bénéficiaires de cette ferme volonté du chef de l’état félix antoine tshisekedi tshilombo et qui se matérialise par la présence à bukavu,du directeur du bief supérieur venu au nom de la direction générale de la régie des voies fluviales ,pour le démarrage de ces travaux.
“Nous ne doutons pas de la qualité de l’ouvrage qui sera réalisé sur ce massif rocheux de nyamoma,ici à bukavu ,surtout qu’il a été précédé des études préliminaires de faisabilité menées par les experts en hydrographie et en bathymétrie,et nous osons espérer que le ministre des transports s’impliquera pour suivre ,pas à pas,le déroulement des travaux et qu’au finish,une fois notre lac bien balisé,les accidents de navigation iront en baisse, pourquoi pas disparaître de notre vie quotidienne et de notre langage”,a martelé marc malago kashekere avant d’inviter la population riveraine et les armateurs à redoubler d’efforts et de vigilance pour protéger cet ouvrage en bon père de famille. la bonne manière pour les armateurs étant de s’acquitter de la taxe de navigation.
Jeremie Baraka