Le président américain Donald Trump est entouré de collaborateurs les plus avertis, comme de services de renseignements et de sécurité les mieux nantis et spécialisés de la planète Terre, qui lui permettent de savoir, avec la précision d’une horloge atomique, les conséquences d’une Guerre mondiale dans laquelle il se montre plus que déterminé à engager les Etats-Unis, son pays, l’Otan et les autres alliés des pétromonarchies du Golfe, contre l’Iran et le new look Bloc rouge de la nébuleuse Union eurasiatique.
Dans mon premier Livre « Le Prix Nobel du génocide Cas de la Rd-Congo » (2017), je montre clairement les tenants et les aboutissants ainsi que l’incontournabilité d’une Troisième Guerre mondiale en latence, étroitement liée aujourd’hui au choix astral d’un président américain dont l’arrogance méprisable, l’imprévisibilité fatidique et « l’illusion de la puissance » qui engendre la suffisance et qui porte le déclin, vont faire subir aux Etats-Unis l’immuable et cyclique loi de la décadence.
Si, compte tenu de la décrépitude de la Cia qui croit encore en ce XXIème siècle à la criminelle stratégie de chaos, de tension, des dialogues ordonnancés, des accords conflictogènes et explosifs, d’une rare iniquité ; si, au regard de la folie va-t-en- guerre de Donald Trump paradoxalement fort appréciée et soutenue par de nombreux Américains dont les Républicains purs et durs, mais aussi et surtout des rapports de force réels en présence, la Troisième Guerre mondiale sera ravageuse de part et d’autre, elle aura par contre l’avantage de marquer la fin d’un Ordre mondial unipolaire scélérat qui bafoue constamment les clauses majeures du droit international en matière de souveraineté des Etats, d’intégrité des territoires, de droits fondamentaux de l’Homme et des Peuples.
Au cours des trois dernières décennies, le système mondial a fait injustement des milliards de victimes innocentes dans des populations entières condamnées à endurer des violences extrêmes que rien au monde ne peut justifier, à travers l’imposture, la loi et la folie des despotes de pacotille sans vision et sans agenda, des génocidaires et autres criminels de la pire espèce, blanchis pour jouir de l’inimaginable impunité au long cours. A l’exemple des crimes insoutenables qui continuent d’être commis au quotidien en Rd-Congo, à Minembwe, Beni, Lubero et Ituri plus précisément, par les mêmes tueurs tutsis rwandais organisés en groupes armés, que les mediasmensonges traditionnels s’évertuent si honteusement à désigner sous le faux nom d’ADF/Nalu.
En tous les cas, le lent déclin des Etats-Unis qui ne leur permettra pas, avec leurs alliés traditionnels, de l’emporter haut la main, n’a pas commencé avec Donald Trump.
L’écroulement du Mur de Berlin dans la nuit du 9 novembre 1989, marque aussi le début de la chute du géant américain qui, faute de poids, l’Urss, en face, contre-balançant l’action de sa puissance, a nonchalamment étalé son incapacité non seulement d’intérioriser la juste valeur et l’importance de sa position géopolitique, mais aussi de voir et d’assumer sa responsabilité, ses devoirs à l’égard de l’humanité entière. Au point même de confondre sa robustesse hégémonique et ses mythiques intérêts, cosmographiquement souillés hélas d’une énorme quantité de sang humain coulé ci et là, avec les caprices, les insuffisances, l’avidité criminelle et l’inhumanité outrancière de ses castes dirigeantes, ces commanditaires attitrés de la plupart de conflits qui embrasent dramatiquement le monde à travers des massacres et génocides déplorés mais impunis parce que couverts bassement par la chape de plomb du silence.
Du sommet de la pyramide politico-économique planétaire, sur fond d’insensibilité multiforme récurrente, les Américains ont toujours pratiqué l’hypocrite politique d’indifférence nébuleuse et meurtrière à l’égard des milliards de vies humaines ainsi niaisement sacrifiées.
A l’école des écoles de la vie et du sport de haute compétition, j’ai appris à lire, relire et retenir par cœur Esaï 54;16 : « Voici, j’ai créé l’ouvrier qui fabrique une arme par son travail ; Mais j’ai aussi créé le destructeur pour la briser ».
Dans le cadre de conjurer les risques énormes de conduire à des catastrophes similaires sinon pires que l’attentat de New York, en 2001, et afin de susciter des réactions salutaires dans le sens des équilibres cosmiques vitaux, Dieu a aussi créé la Corée du Nord et l’Iran, qui, par instinct de survie, se sont organisés depuis longtemps pour non seulement démythifier les Etats-Unis et l’Otan sur le plan nucléaire mais aussi prévenir toute éventualité d’une guerre, en se dotant d’armes sophistiquées capables d’atteindre des cibles hautement stratégiques, notamment les pays de la région sous haute protection américaine, Israël en particulier.
Les Américains n’ont pas pu faire la guerre à l’Iran depuis 2009 parce que Téhéran, comme la Chine, la Corée du Nord et tant d’autres Etats ambitieux, jaloux de son identité nationale, avait compris l’unique garantie, pour préserver sa souveraineté, de s’équiper de sa propre arme suprême, la bombe atomique. Il détenait déjà des têtes nucléaires russes, chinoises et ukrainiennes armées de missiles balistiques et de croisière, dont les X-55 avec une portée de 3.500 km.
Concomitamment aux négociations à rebondissements avec les Etats-Unis et alliés, l’Iran, comme la Corée du Nord, poursuit ses activités d’enrichissement d’Uranium, en phase de finalisation depuis 2000, dans d’autres sites que l’Usine de Fordo, échappant ainsi au contrôle de l’Agence internationale de l’Energie atomique « AIEA ». Il est dès lors très troublant d’entendre Donald Trump déclarer que « l’Iran n’aura jamais de bombe atomique ».
En réalité, la belligérance américano-iranienne en cours représente une très sérieuse menace contre le système de terrorisme unilatéralement établi. Elle annonce la fin de l’empire fasciste mondial constitué de cartels puissants des riches réunis autour d’un libéralisme triomphant qui se trouve aujourd’hui en face d’une crise existentielle caractérisée par le défi climatique et, surtout, le boomerang des égocentrismes radicaux, hégémonismes, insensibilités, irresponsabilités, tromperies, inégalités, populismes, suffisances, violences monstrueuses, impunités.
Le moment est certainement venu pour toutes les forces de la lumière et du bien, dont le devoir est de favoriser la diffusion et même l’imposition de la splendeur de la vie, la vérité et la justice pour tous, en vue de contourner le mécanisme infernal qui toujours conduit aux massacres alternatifs, génocides perpétuels, croisades interminables, guerres humaines et autres luttes millénaires.
J’ai aussi appris à avoir un faible pour les Américains et à m’intéresser à l’histoire de leur vaste et grand pays, au point de réaliser qu’ils n’ont plus besoin de faire couler une seule goutte de sang humain pour « défendre leurs intérêts » à travers le monde, en Rd-Congo singulièrement. Et la question qui me vient à l’esprit est de savoir si, déjà, Jupiter ne les a pas rendus sourds et aveugles pour les perdre, en les empêchant de se regarder humblement dans le miroir de la réalité en vue d’en tirer les conséquences et les leçons, notamment se débarrasser en priorité de Donald Trump, éviter la capricieuse Troisième Guerre mondiale en latence, juste le temps de se recouvrer, recadrer les grands enjeux géoéconomiques, géopolitiques et géostratégiques autour desquels gravite l’actuelle crise, arrêter l’inhumanité et la destruction de l’humanité, y compris les Etats-Unis.
That’s the big question.
Qu’elle survienne maintenant, à la suite de l’assassinat du général iranien Qassem Soleimani, ou pas, la prochaine Guerre planétaire qui s’annonce en tous les cas marquera la fin d’un nouvel ordre mondial unipolaire en perdition, le décor étant bien planté pour sortir des cieux le Dieu de la Vie, la Paix et la Justice pour tous, auquel je crois.
Étrangement fort soutenu par sa « base » aussi impressionnante que la foule iranienne qui a accompagné le général Soleimani à sa dernière demeure, Donald Trump est en voie de s’avérer être cet ange certes incompris, envoyé par le Très-Haut pour favoriser et cuirasser la grande mutation cosmique.
Dans ce cas, rien, même pas l’impeachment en cours, ni personne ne l’arrêtera.