Les questions se posent un peu partout dans le chef de la population pour savoir comment certains jeunes intellectuels pourraient se livrer dans les antivaleurs de ce jour de la nuit du mardi 2 au mercredi 3 novembre 2021 lors de l’incursion des assaillants qui ont perturbé la quiétude dans la ville de Bukavu.
Comme d’aucun le constate, il est regrettable de trouver que les jeunes qui ont passé environs 18 ans au banc de l’école et qui se sont joints à ce groupe des personnes non identifiés et qui ont attaqués la ville de Bukavu.
” Moi je m’étonne comment trouver une condisciple avec qui j’ai partagé le même Banc de l’école et qui s’est enregistré dans ces inciviques qui ont attaqué la ville de Bukavu. A cet effet, nous trouvons que le leadership congolais est trop passif ou encore en baisse dans le degré où un jeune congolais qui a subi aumoins plus de 17 ans qui s’intègre dans ces antivaleurs pareille”,
estime Timothée Mugisho.
Cet analyste indépendant condamne ces anti valeurs et appelle les autorités de bien identifier les activités qu’exercent les jeunes à partir de chaque représentation de noyaux ou quartierx et cellules afin que le calme soit établi dans les différents quartiers de la ville de Bukavu, du fait que d’après lui, la non prise en compte de ce conseil, la situation sera chaotique dans toute la ville du jour au jour.
De sa part un autre analyste indépendant qui a requis l’anonymat, c’est inconcevable de constater qu’après plus de 7h de temps opposant une résistance aux Forces Armés de la République Démocratique du Congo FARDC, personne ne se demande d’où sont venu ces bandits, leur nombre, leur logistique, leur mission, où sont-ils passés pour quitter la ville après un front de plus de deux heures entre les forces de sécurité chez Rumama à l’essence et Panzi.
“Est-ce que la mission de ce groupe armé était de ravir des armes pour en faire une cargaison assez considérable ? Si oui, où se situe leur quartier général ? Est-ce qu’on peut savoir leur dernière cachette c’est où ? Si non, cet événement constitue une bombe à retardement dans le sens qu’ils se sont cachés dans des maisons à Bukavu, car ils ne sont pas des extraterrestres”, s’interroge ce citoyen Sud-KivucieSud-Kivutien
Celui-ci renseigne que du côté Rwandais, pays voisins, à la frontière entre la République Démocratique du Congo, l’armee rwandaise aurait placée ses soldats contre des éventuelles infiltrations.
“Sommes-nous en mesure de sécuriser nos ports, aéroports ? Sommes-nous prêts à dénoncer tout mouvement suspect ? Sommes-nous dingues pour ne pas analyser la situation qui prévaut à Bukavu ? Pendant ce temps le Père de famille voyage. On dirait que les armes entendues à Bukavu était une expérimentation de celles achetées en Israël récemment?”,
conclut-il.
Jérémie Baraka