![4ème édition du tournoi de Karaté à Goma: le décor est planté pour accueillir la compétition [ Organisateurs]](https://kivuavenir.com/wp-content/smush-webp/2024/11/IMG-20241105-WA0030-360x180.jpg.webp)
Le gouverneur de province Carly Nzanzu KASIVITA a décidé de mettre fin à la spolliation du mont Goma, s’en était suivi par le scellage de certaines maisons construites sur ce site hautement protégé,Ces maisons ont été descellees, sur ordre du procureur général à seulement 6 jours après la tombée de la décision du gouverneur.
Situation qui fait suscité des réactions dans les classes politique et sociales de la province.
Selon Ngulumira Amini Frédéric, interfederal du RDC-KML, cette décision est salvatrice car le mont Goma doit être protéger. C’est un patrimoine, dit-il.
Lors d’une interview exclusive qu’il a accordé au site d’information kivuavenir.com, celui-ci encourage la mesure du gouverneur et mais dénonce le fait que ces maisnons soient descellees quelques jours après.
Pour lui, sceller puis desceller c’est déjà un faux pas du gouverneur de province et son ministère des affaires foncières.
Ngulumira précise que gouverneur Carly kasivita s’est lancé un défi en rassurant à la population de goma qu’il va mettre fin à la spoliation du sit de mont goma, mais il semble tourner à sa décision lui-même.
” Comme c’est l’une des ses premières grandes décisions, le respect du reste des ses décisions dépendra de la réussite de ce fameux degreppissement des ceux qui détruisent le mont goma” a-t-il conclu.
Ngulumira pense que le gouverneur Carly n’avait pas pas d’autres choix que d’aller jusqu’au bout s’il veut rester gouverneur rassurant et comme les maisons sont déjà descellees, donc toutes les prochaines du gouveneur n’auront pas de poids et d’effets positifs.
Une vingtaine de maisons errigées sur ce site ont été scellé entre mercredi 05 et jeudi 7 novembre 2019 par le ministère provincial des affaires foncières Rodriguez MUHINDO sur décision du gouverneur de province.
Pour les défenseurs de droits humains en province, cette décision est en violation de droit de l’homme. Ces derniers disent les procédures étaient baisers et que le gouverneur a mal procédé vu qu’il n’a pas ni avisé, ni averti les victimes.
Paulin AGANZEbn
