Selon l’accusation, les fonds auraient été transférés de manière irrégulière à Zion Construction, une société soupçonnée d’être fictive.
De son côté, Constant Mutamba crie au complot politique, affirmant que l’argent reste toujours à la Rawbank et accusant ses adversaires de vouloir le discréditer.

Depuis la levée de son immunité et sa démission en juin 2025, il se présente comme victime d’une justice à deux vitesses.
Le procès, marqué par la récusation de deux juges pour partialité, se déroule dans une atmosphère tendue.