L’aide aux victimes de violences sexuelles, ou plus exactement leur réinsertion dans le tissu social et la disparition de l’impunité en matière de viol, sont indispensables à la reconstruction du pays et à l’instauration d’un véritable État de droit.
Rares sont les programmes de reconstruction qui mesurent l’importance fondamentale de ce que l’on pourrait appeler la ” reconstruction psychologique “des populations en général et des femmes en particulier.
Pourtant, les différents acteurs impliqués dans la reconstruction du tissu social après un conflit savent combien les femmes y jouent un rôle primordial.
Non seulement parce qu’elles sont les premières à s’ingénier à trouver de nouvelles stratégies de survie économique, mais aussi et peut-être surtout parce que les femmes sont le pivot central autour duquel se construit la famille qui, en Afrique peut-être encore plus qu’ailleurs, est l’entité primordiale de toute entraide communautaire, celle à partir de laquelle s’établissent tous les réseaux sociaux, économiques et mêmes politiques.
Or le viol, utilisé comme une arme de destruction sociale massive, risque d’annihiler la possibilité même de la fonctionnalité de la famille
La reconstruction psychosociale des femmes victimes de violences sexuelles est donc un passage obligé de la reconstruction globale de la société.
La pérennité du phénomène, malgré l’abondance des discours et des actions menées, pose question.
Dans l’optique ici choisie de s’interroger sur les conditions de la reconstruction de la RDC et de ses peuples, on peut se demander si les modalités du secours apporté aux femmes victimes de violences sexuelles à l’est de la RDC, ne comportent pas de manière indirecte des éléments susceptibles de freiner leur ” reconstruction “.
Pour le Docteur Zigabe Henri Isaac, l’un des Penseurs Libres et en Master Coach congolais, l’occident prouverait son impartialité devant les deux guerres ;celle de l’Ukraine a plus d’attention que de la République Démocratique du Congo alors que des millions des personnes sont mortes injustement en RDC.Je salue toute femme congolaise
“Tout seigneur, tout honneur !
Il s’agit de la reconnaissance à toutes les femmes de la République Démocratique Congo qui se battent jour et nuit pour survivre surtout celles de l’Est qui endurent les atrocités à une guerre injuste et inhumaine sous la barbe des Nations Unies.
A travers cette grande dame, l’honorable Princesse Dominique Inamizi Munongo ; qui passe toute sa vie entrain de défendre les droits des opprimés,je salue les filles et femmes congolaises pour leur bravoure exceptionnel devant des situations et événements dont elles sont victimes surtout à l’Est de la RDC.Ce mois dédié à la femme travailleuse (Proverbes 31:10-31) n’a pas épargné les filles et femmes de l’Ituri, du Nord-Kivu, du Sud-Kivu,du Maniema ,duTanganyika et de Kwamouth d’être violentées et violées par leurs bourreaux“, a-t-il déclaré.
Jérémie Baraka