Le coordonnateur provincial de cette structure attachée à l’environnement l’a dit dans une déclaration rendue publique lundi 3 mars 2025 dans le ville de Bukavu, à l’occasion de la journée mondiale de la vie sauvage, célèbre le 3 mars de chaque année.
Selon celui-ci, il est impérativement demandé aux acteurs impliqués dans le conflit au Sud-Kivu de respecter et préserver la biodiversité, en accord avec le principe 24 de la Déclaration de Rio.
Le coordonnateur de la SDDNature estime qu’il est temps de respecter le droit international relatif à la protection de l’environnement en temps de conflits armé et de contribuer à son développement.
Joël Mubake ajoute que la journée mondiale de la vie sauvage est une occasion de célébrer les nombreuses formes de la faune et de la flore sauvages.
Cette organisation, œuvrant dans la protection de l’environnement souligne que les activités liées aux affrontements menacent le Parc National de Kahuzi-Biega PNKB et la Réserve Naturelle d’Itombwe.
” Insistons sur la nécessité de respecter les engagements internationaux pour préserver l’environnement et garantir un équilibre écologique et un avenir durable pour les générales futures”, indique Joël Mubake, coordonnateur provincial de la SDDNature.
Cette dernier rappelle également le besoin urgent d’intensifier la lutte contre la criminalité liée aux espèces sauvages et la réduction du nombre d’espèces qui ont un impact important en termes économiques, environnementaux et sociaux.
Toutefois, Joël Mubake coordinateur province de la Science et Développement Durable SDDNature lance un appel urgent aux autorités et la population du Sud-Kivu de promouvoir davantage en cette période la protection de la biodiversité au sein et autour des aires protégées.