Du mercredi au vendredi 24 février 2023, les experts de la République démocratique du Congo et ceux des autres pays partenaires en provenance des pièces et recoins de la sous-région des Pays de Grand-Lacs seront dans un atelier de présentation des études de réduction du deuxième lot Luberizi-Kamanyola-Bukavu dans le Projet de construction de la route Kalundu-Bukavu à l’hôtel Panorama dans le chef-lieu de la province du sud-Kivu.

Au cours de ses assises organisées par le couloir central pendant trois jours, ces dernières seront entrain de présenter les études faites sur le projet de la construction de la route Kalundu-Bukavu.
Présent dans cette réunion, le ministre provincial en charge des transports et voies de communication au Sud-Kivu et représentant du gouverneur de province dans cette activité, Mathieu Alimasi Malumbi s’est dit satisfait par les études faites par ces derniers qui ont fait un travail de qualité qui, permettrz que la province du Sud-Kivu surtout la partie Uvira- Luvungi-Kamanyola- Bukavu redevienne praticable.
“Les experts ont vraiment présenté les études, leurs qualifiés, les détails et ils ont même montrés dans la mesure de possible, ont peu même devenu cette route au cas où les escarpements de Ngomo présententai toujours des difficultés. Nous avons demandé aux experts présents
dans cet atelier de travailler à rache-pied avec professionnalisme parce que c’est pour l’intérêt de la nation congolaise et de la province du sud-Kivu en particulier, car elle est la première bénéficiaire du projet. Le corridor central est là pour
Appuyer le gouvernement congolais et nous comme l’état congolais nous allons faire de notre mieux pour que ce projet puisse être réalisé.c’est pourquoi nous demandons l’implication de tout un chacun à son niveau de contribuer à la réalisation de ce dernier surtout sur les aspects sécuritaires.”at-il déclaré
Pour la question du blocage de certaines étapes de la réalisation du dit projet de la part du gouvernement congolais le représentant de l’autorité provinciale, précise qu’il ne sont pas ni de loin ni de prêt une source de blocage d’un tel bon projet mais il demande a ses partenaires de respecter certains aspects car pour faire un échantillon il ne s’agit pas des tonnes parce que c’est le ça de ces derniers, celà à été même à la base de bloquer certains matériels à Kamanyola car leurs partenaires n’ont pas respecté certaines règles.
D’après Mathieu Alimasi, le gouvernement a trouvé une solution le plutôt possible parce qu’ils ont presque tout les détails du projet à travers cet atelier organisé par le corridor central.

Pour Ir.Zayituni Nakonde chargée des infrastructures au sein du corridor central, en principe le corridor central met à disposition le fond pour faciliter la réalisation des études mais ne finance pas la construction des routes.
“Quand les études sont terminées, par exemple le lot un de Kalundu-Luberizi et Luberizi jusqu’à Bukavu, aujourd’hui nous sommes entrain de financer des réunions de mobilisation des financements avec la Banque Africaine de Développement” BAD ” pour chercher les financements qui pourra permettre l’exécution des travaux.
C’est ne pas dans nos attributions de financer les travaux de construction mais plutôt faciliter la réalisation de certains projets.
Donc nous attendons aujourd’hui la finalisation des études du lot deux pour commencer à chercher le financement pour l’exécution des travaux de construction de cette route d’intérêt capital.”a éclaircie madame Ir.Zayituni Nakonde chargée des infrastructures au sein du corridor central
Cette activité s’inscrit dans le cadre du projet appelé “Construction de la route kalundu- Bukavu”va permettre au pays de booster leur économie et de faire de cette route une ligne commerciale.
Il sied de signaler que ces résultats provisoires de cette étude ont été présentés par l’agence internationale des consultants et des technocrates qui l’a effectué et c’était en présence des experts des ministères nationaux des infrastructures, des transports, du représentant de l’office de route, du ministre provincial de transport et des représentants du corridor central qui a financé ces études.
Jeremie Baraka





















































