La société civile noyau communal d’Ibanda alerte l’autorité communale sur le mont des terres qui s’observe ce dernier temps sur la route nationale numéro 5, au quartier Panzi, entre la paroisse catholique de Cahi et l’entrée de l’Université Evangélique en Afrique UEA.
Murhula Machumbiko, vice-président de cette structure citoyenne l’a dit lors d’un entretien avec un reporter de kivuavenir, ce mardi 31 mai 2022.
Selon notre source, ce mont des terres est observé sur ce lieu, depuis l’éboulement des terres survenue sur ce tronçon routier, il y a dès cela un mois, une couche des terres, selon lui, qui est à la base des embouteillages sur cet axe routier, et cela en bloquant une partie de la route nationale numéro 5.
Le vice-président de la société civile d’Ibanda, regrette de constater que 4 semaines depuis l’avènement de cet éboulement, jusqu’à présent aucun effort de la part des dirigeants n’est signalé pour évacuer ce mont des terres sur la chaussée, et rendre praticable cette édifice.
De ce fait, cet acteur de la société civile demande aux autorités provinciales et urbaines de tout faire pour l’évacuation de cette couche des terres avant que les Pires n’arrives, car ajoute-t-il, cette dernière, expose cet ouvrage à la disparition.
« Ça fait déjà un mois depuis l’éboulement de terrain qui avait vu le jour à panzi mulengeza 2 dans la courbure de la paroisse de Cahi qui avait occupé une bande de la route nationale numéro 5, mais jusqu’à présent les autorités n’ont jamais passée à l’évacuation de cette couche des terres qui expose la population aux accidents routiers. La question qu’on se pose est ce que nous sommes dirigés par les mercenaires qui attendent la pression pour qu’ils sachent leurs travail, la route nationale numéro 5 nous a coûté plusieurs millions des dollars pour ça réhabilitation», indique Murhula Machumbiko.
Il sied de noter que si rien n’est fait dans l’urgence, la société civile d’Ibanda et du quartier Panzi en particulier promettent d’organiser des actions citoyennes pour exiger l’entretien de cette route nationale.
Oui oui cela est fondé mais il a fallu que cette structure de la société civile fasse une campagne de sensibilisation à toute la population du quartier panzi au service des travaux communautaires appelés SALONGO car nos autorités sont des autorités de leurs bureaux mais pas de terrains , les autorités congolaises et surtout celles de la ville de Bukavu n’ont besoin de la population que lorsqu’elles ont besoin d’être élluent aux postes quelconques .