Au quartier Nyakavogo dans la commune de Bagira, ville de Bukavu au Sud-kivu, un homme vient de violer son enfant, lequel enfant qui a moins d’une année de naissance.
Les disputes entre le mari et sa femme coûte le coup au bébé innocente qui s’est vu violée par son propre père la nuit du mercredi à ce jeudi 28 avril 2021 à Nyakavogo.
Au micro de nos confrères de Mama Radio, les témoins renseignent que l’homme serait venu dans un état d’ivresse et tout d’un coup il s’est mis à frapper sur sa femme sans même se souvenir qu’elle peut aussi sentir des douleurs.
Disputés non terminées, la femme a vite échappé aux querelles de son mari jusqu’à avoir l’occasion de sauter à l’extérieur de la maison en laissant son mari dans la chambre.
Dans sa folie, son ivrognerie, son inconscience ou sa conscience, père de son état, a violé son enfant qui n’a qu’environ 8 mois de naissance, renseignent les personnes qui se sont confiées à Mama Radio.
Comme mère, malgré les coups lui infligé par son mari, c’est par le cris de pleurs de son enfant que la femme a poussé la porte pour aller prendre son enfant, et là il a trouvé son époux d’entrer de commettre la relation sexuelle avec son bébé innocente.
« La mère pensait que son bébé elle sera dans la sécurité et son père ne va rien lui faire, mais quand elle a senti le cri, c’est à ce moment qu’elle a poussé la porte et trouve son mari en pleine relation avec leur enfant » ont fait savoir
Aussitôt alertées, les autorités administratives de cette entité sont arrivées sur le lieu et ont à leur tour alerté la police et le malfaiteur a été déféré à la justice où il va répondre de ses actes.
La mère et son mère sont à l’hôpital général de Panzi où elles suivent des soins appropriés.
Il est à rappeler que la consommation des boissons fortement alcoolisées pousse les hommes comme les femmes à poser, à dire des choses un peu bizarre, ceci du fait que les consommateurs sont dans l’inconscience.
A chaque instant dans différents quartiers de la ville de Bukavu on peut trouver des personnes en majorité des jeunes sont dans un état d’ivresse même très tôt le matin.
Des boissons surtout celles fabriquées localement se vendent et consomment dans différents coins de la ville de Bukavu. Dans certaines boissons, il se peut qu’on y met de la drogue, chose qui permet aux preneurs d’être de plus en plus dans un état inhumain et cela sous les yeux impuissants des autorités.
Plusieurs organisations de droits de l’homme, celles oeuvrant dans le domaine féminin, mouvements citoyens, société civile force vive ne cessent d’alerter sur le vente et la consommation de ces boissons
Clause Musengero.