“La conduite des hostilités et les violences sexuelles en droit humanitaire international” C’est le thème d’une conférence tenue ce jeudi 14 novembre à L’ulpgl Goma à l’intention des universités de cette ville.
Différentes autorités politico administratives , scientifiques et militaires ont pris part à cette activité organisée par le Comité International de la Croix rouge (CICR) en sigle.
Pour le chef de la sous délégation du CICR Jun Pulpung, les universités jouent un rôle crucial à cet égard en veillant à ce que le droit international humanitaire et les règles applicables à d’autres branches du droit soient enseignés aux dirigeants, aux porteurs d’armes, aux juges et aux avocats de demain ainsi qu’aux futurs professionnels de l’humanité.
En effet, la connaissance de ces règles quoi qu’insuffisantes à elles seules, demeure indispensable pour garantir le respect du droit a t il soutenu .
Il ajoute à cela la nécessité de porter assistance, soit en santé médicale, soit en santé mentale, en vive si nécessaire pour les déplacés, même s’il n’a été facile d’accéder dans les zones d’opération.
Le lieutenant Saleh Ndayi Conseiller Juridique à la 34 ème région militaire, le travail abattu par les Forces loyalistes en matière de droit international humanitaire. Selon lui, l’armée a mis en place un organe de répression des porteurs d’armes, en cas de dérapage dans l’exercice de leur métier.
Il a reconnu autant des procès à l’auditorat militaire à Katindo où les gens jugés par rapport aux violences répondent de leurs actes.
Différentes questions relatives à la thématique par rapport à la réalité sur le terrain ont plus préoccupé plusieurs étudiants dans la salle afin d’éclairer certaines zones d’ombres.
Rappelons que le CICR a pour mission exclusivement humanitaire de protéger la vie et la dignité des victimes de conflits armés et d’autres situations de violence et de leur porter assistance
Juvenal Murhula