Dans un message sombre fait par Clovis Cirimwami, Président de la Nouvelle Dynamique de la société civile de Mudusa, Les cas d’assassinats et irruption survenus dans cette contrée n’ont pas été à la mesure de la stabilité pour les citoyens et ont été à la base de plusieurs méfaits.
En date du 15 Avril 2025, une femme était fusillée par des hommes non identifiés au centre de négoce de Kasihe vers 19h, du 27 Avril au 28 Avril 2025, 10 maisons ont été visitées et des personnes avaient été grièvement blessées par les assaillants, le 29 Avril 2025: 3 maisons ont été visitées dans le village de Cimpwiji ; du 29 Avril au 30 avril 2025, assassinat de 3 personnes à Ihemba, dont Mudesi Kabedi Christophe, Mushobozi Mudesi Anicet et Miruho Gaston
et plusieurs grièvement blessées.
Du 7 Juillet au 08 Juillet 2025, assassinat de Mushamuka Honoré, chef du centre de négoce de Kalangwe.
Le 8 Juillet 2025, irruption accompagnée de pillage par les inciviques au domicile du chef de groupement Flaterne Musoro en 10 Juillet 2025, irruption accompagnée de pillage dans le village de Buhozi et Mudusa Centre; le 27 Juillet 2025, Assassinat de Birindwa Michel Key à son domicile et Père de 5 enfants.
On note qu’avant mi-septembre, déjà deux cas d’assassinat dont Celui du 2 Septembre 2025 où un assassinat a coûté la vie à Komodo Ligambo de Lwanvuhye, motard de son état et celui du 5 septembre 2025, assassinat de 2 personnes à Buhozi, dont: Rebecca Cishugi Balola et Claude Kajangu dans le village de Buhozi.
Des cas d’incendies enregistrés.
Le 21 Mai 2025, incendie de plus de 10 maisons dans le village de Buhozi, Cause Batterie d’un téléphone branchée vers 3h ; le 04 Juillet 2025, 3 maisons et plus toujours à Buhozi Kashalalo vers 13h, le 28 Juillet : 5 maisons dans le village de Mudusa centre, sous village Kabungo même cause de la batterie.
Le 25 juillet 2025: 4 maisons dans le village de Mudusa Centre, sous village Kabungo vers 13h, même cause; le 28 Août 2025 plus de 10 maisons à Cimpwiji, dont celle du Secrétaire du groupement de Mudusa.
” La NDSCI Mudusa constate que la vie humain n’a plus sa considération, avec un seul assassinat, là où il y a des autorités et toutes les institutions pour la protection de l’homme, c’est déjà trop, que toute personne puisse s’y impliquer pour une sécurisation saine et sauve de la personne et ses biens ; les incendies, que les agents de l’urbanisation, les institutions d’étude de catastrophes différentes envisagent trop tôt de mécanismes et pour les cas d’incendie, la réhabilitation des installations, le contrôle et surveillance des nos batteries une fois en charge et éviter l’utilisation de chargement direct”, déplore Clovis Cirimwami.