Risque de coupure de la ville de Bukavu du reste des 8 territoires que compte la province du Sud Kivu. A la base la dégradation très avancée des routes de désertes agricoles quittant les milieux ruraux vers la ville de Bukavu chef lieu de la province du Sud Kivu.
Cette situation d’impraticabilité des routes s’observe malgré les millions de dollars américains débloqués par l’État congolais pour amorcer les travaux de construction des ces différentes routes reliant la ville de Bukavu au reste de de province du Sud-Kivu.
Lors de l’accesion au pouvoir du chef de l’État Félix Tshisekedi, un programme dit de 100 jours avait était lancé dans l’objectif de réhabiliter les routes dans des provinces, mais jusqu’à présents rien n’est visible sur le terrain, s’indignent des habitants beneficiaires de ce programme en province du Sud-Kivu.
A son temps un député national de l’Union pour la Nation Congolaise UNC et qui avait procédé au lancement des travaux de réhabilitation de la route Burhale-Shabunda, au Sud-Kivu, sa province natale, avait même indiqué que l’argent pour exécuter ces travaux était déjà débloqué auprès des services habilités, chose grave, jusqu’à ce jour même 1 kilomètre n’est visible sur cet axe routier, reliant le territoire de Walungu à celui de Shabunda.
À cette occasion, des structures citoyennes du territoire de Shabunda avaient à leur tour alerté sur un présumé détournement des fonds alloués aux travaux de 100 jours du chef de l’État par le gouvernement congolais.
Ces structures citoyennes se disaient ne pas comprendre comment un député national pourrait lancer des travaux car ayant déjà reçu l’argent en qualité de l’un des membres d’une équipe des superviseurs qui était mise sur pied à l’époque mais les dits travaux n’avaient jamais débuté.
Comme si cela ne suffisait pas; les jeunes de l’espace lega avaient demandé aux instances judiciaires de mettre en place une commission d’enquête afin que ceux-là qui seraient impliqué dans le détournement de ces fonds soient soumis devant les instances judiciaires et répondre de leurs actes.
Parmi ces personnalités on pourrait citer l’actuel vice ministre de la justice Amato Bayubasire, à l’époque député national et Billy Kambale ministre national à l’époque et actuel secrétaire général de l’UNC.
Au vu de cette situation, plus d’un observateur estime que, l’État congolais ne devrait pas rester indifférent face à cette maffia dont est victime sa population rurale.
Outré celà, des habitants réssortissants du territoire de Shabunda vivants dans la ville de Bukavu et qui avaient organisé des marches dans la ville, sollicitent jusqu’à présent des explications claires et nettes au vice ministre de la justice en RDC, Amato Bayubasire et toute son équipe sur l’utilisation de millions de dollars américains decaissés par le gouvernement congolais pour la construction de la route Burhale Shabunda.
Les dirigeants Congolais sont corrompu. Ils n’aiment le congo
Raison pour laquelle le Congo est sous developer et insecurisee jusqu’aujourdhui