Tout a été dit par cette autorité Communale lors d’une interview accordée à votre Média, ce Mardi 1 Juillet à Nyamoma.
Au cours de cet échange, le Bourgmestre adjoint d’ibanda a fait savoir qu’elles sont nombreuses, les mesures déjà prises contre les différents lavages non reconnus par les autorités compétentes et que rien n’a été observé malheureusement dans le chef des auteurs appelés chaque fois à cesser d’abimer les infrastructures de l’Etat par les eaux.
Jonathan a affirmé qu’il était déjà temps de se lever et dire non à cette pratique impie et de grande honte, afin d’assurer une durabilité remarquable et sans contours aux différentes routes de la commune d’ibanda et celles de la ville de Bukavu qui courent aujourd’hui plusieurs risques, et spécialement, décourager ces nombreux jeunes qui s’endonnent à cette bavure à ciel ouvert.

Les cadres de base, respectivement chefs de quartiers et leaders Communautaires jouent un rôle prépondérant dans la sensibilisation des jeunes à éviter de contribuer à la destruction des infrastructures et montrer à chacun d’entre eux qu’ils sont nombreux les travaux à faire pour survivre que de détruire la chose publique.
Lors de ce cadre d’échanges, le Bourgmestre adjoint d’ibanda a précisé qu’à partir du moment même où il parlait, des équipes sévères seraient diligentées dans différents coins et recoins de la ville de Bukavu afin d’identifier les vrais lavages ou alors ceux reconnus par les autorités compétentes et ceux œuvrant dans l’illégalité, afin que même les non reconnus soient directement Poursuivis et traqués selon que la loi le prévoit et qu’ils répondent à leurs actes, sans Prolongation.
Il y a quelques jours, la Commune d’ibanda sous l’administration AFC-M23 avait encore insisté sur la nécessité pour les jeunes d’intégrer volontairement l’armée révolutionnaire Congolaise propre au mouvement révolutionnaire, afin d’éviter d’être compter sur la liste de ceux qui font la loi partout ailleurs et s’assurer de la bonne vie.
Il est donc impérieux que des mécanismes soient initiés et mis en place pour que les routes soient protégées et que chaque espace de l’Etat puisse subir un bon traitement, contrairement aux habitudes actuelles.
Tous les quartiers de la commune d’ibanda sont concernés par la question de lavage illicite.
À Panzi, par exemple, la Route Nationale Numéro 5 connaît pas mal d’attaques orchestrés par les jeunes désoeuvrés qui ont bon jugé de détruire par les eaux que de bâtir ensemble dans la loyauté.
Malgré les efforts déjà mis en disposition par les autorités locales, bien entendu le Chef de quartier et ses alliés, en instaurant spécifiquement la brigade d’assainissement à Panzi, les lavages continuent de faire rage au détriment de la route.
L’urgence s’avère importante que réellement la Population comprenne qu’il faut protéger les routes et que des mesures sérieuses soient prises contre les contrevenants.