La séquence, largement relayée en ligne, a provoqué un vif émoi au sein de l’opinion publique et une réaction rapide des autorités congolaises. Selon des sources militaires, les auteurs de la vidéo ont été rapidement identifiés, localisés, puis arrêtés sans affrontement.
Les officiers impliqués sont actuellement jugés pour atteinte à la sûreté de l’État, tentative de coup d’État, et insubordination. Les autorités militaires ont confirmé que ces actions n’étaient ni coordonnées avec l’état-major, ni représentatives de l’ensemble des FARDC, affirmant qu’il s’agissait d’un acte isolé mené par un groupe restreint de militaires mécontents.
Le gouvernement congolais a condamné cet acte qualifié de “grave menace à l’ordre républicain”, et a assuré que toutes les mesures nécessaires seraient prises pour préserver la stabilité et l’intégrité des institutions. Des enquêtes sont en cours pour déterminer les motivations profondes des officiers et d’éventuelles complicités.
Le président Félix Tshisekedi, en déplacement au moment des faits, a réaffirmé son engagement à maintenir l’ordre constitutionnel et a salué la réactivité des forces de sécurité.