En réponse, les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC), par le biais de leur porte-parole, le général Sylvain Ekenge, ont affirmé prendre acte de cette démarche et suspendre toute offensive militaire durant cette période.
Ce retrait est perçu comme une étape importante dans le processus de désescalade des tensions qui secouent l’est du pays. Les FARDC soulignent leur engagement envers la résolution pacifique des conflits, en rappelant que la protection des populations civiles demeure leur priorité absolue.
Toutefois, le scepticisme demeure parmi les observateurs et les communautés locales, qui restent prudents quant à la mise en œuvre et à la durabilité du cessez-le-feu. Les souvenirs des cycles de violences passées alimentent des craintes d’un potentiel retour des hostilités.
Alors que la communauté internationale observe de près cette évolution, les attentes restent élevées pour que ce processus marque un tournant décisif vers une paix durable dans cette région troublée. Les autorités congolaises et les partenaires régionaux sont appelés à garantir la transparence et l’efficacité de ce fragile processus.