Pour cause les étudiants de l’ISTM réclamaient le rétablissement d’énergie électrique qui fait déjà presqu’une semaine .
Pour montrer leur mécontentement, ils ont barricadés la route numéro 2 au niveau de l’entrée de l’institut supérieur de développement durable ISDR entre lycée Wima et SOSAME, allumés du feu et brulés des pneus trop tôt le matin, après l’avoir rendu disponible quelques heures après lors de leur dispute avec les chauffeurs faisant des courses Place de l’indépendance-hôpital Dr. RAU de Ciriri.
Devant leur institution ils ont brulés des bois et barricadés la route pour des véhicules. Tous les portails de leur bâtiment fermés pour ne pas permettre aux enseignants d’entrer pour dispenser les cours et ce qui s’est observé à l’UCB campus Dr. LURHUMA de Karhale.
A l’Univesité Officielle de Bukavu par contre les cours ont repris après quelques heures de suspensions suite aux troubles qui se sont observés dans la matinée.
Un étudiant interne au campus de l’ISTM qui s’est exprimée sous un son d’anonymat au micro d’un reporter de
kivuavenir.com , fait savoir que tous les étudiants qui vivent dans les campus de l’ISTM et UCB de Karhale, traversent un moment difficile durant environ une semaine et cela suite au manque du courant électriques dans leurs internats.
Cet étudiant renseigne comme il y a pas l’énergie électrique, c’est difficile pour eux de faire l’étude pendant la nuit et même manger car pour préparer la nourriture il faut du courant du fait qu’ils n’utilisent que des réchauds.
Ce dernier renseigne que le courant vient et après 5 à 10 minutes il part encore et cela soit pour toute la journée, chose qui ne permet pas le bon déroulement de leurs activités cuisinières que académiques.
Pour prévenir contre les incendies à cette institution de l’enseignement supérieur, il était interdit à tous les étudiants d’utiliser des braserons en remplacement avec des réchauds, renseigne cet interne de l’institut supérieur de technique médicale ISTM.
Notre source demande à la société nationale d’électricité SNEL de leur envoyé du courant normalement et à temps réel, c’est-à-dire, de 4 heures du matin à 8 heures, de 10 heures à 15 heures et en fin de 18 heures à 1 heure du matin, car la majorité de ces heures les étudiants souvent au campus qu’à l’auditoire.
Pour lui, si une réponse ne soit trouvée dans l’urgence pour résoudre ce problème, d’autres actions vont se poursuivre afin que le courant soit permanant afin que les activités se déroulent comme dans le temps passé.
Nous avons tenté d’entrer en contact avec le collège des étudiants de l’ISTM ainsi que les autorités académiques de cette institution mais nos efforts sont restés vain.
A part aux institutions d’enseignements supérieurs et universitaires, un délestage s’observe ce dernier temps dans beaucoup des quartiers de la ville de Bukavu.
Claude Musengero