![4ème édition du tournoi de Karaté à Goma: le décor est planté pour accueillir la compétition [ Organisateurs]](https://kivuavenir.com/wp-content/smush-webp/2024/11/IMG-20241105-WA0030-360x180.jpg.webp)
Monsieur Aimé Mukanda MBUSA l’un des notables du territoire de Rutshuru à l’est de la République démocratique du Congo,déplore la recrudescence des cas de kidnapping dans cette partie de la province du Nord-Kivu.
D’après lui,le lundi 5 septembre de cette année,aux environs de 21heures au 28ème kilomètres, dans la localité Kisharo, notabilité mushumba, village makoka et non loin du ruisseau kyamutundwe quatres (4) personnes d’une même famille dont un père et ses trois enfants ont étés kidnappés par des hommes armés assimilés aux rebelles FDLR.
“Monsieur le journaliste, nous dénonçons et condamnons avec nos dernières énergies ce qui s’est passe actuellement dans nos villages.jusqu’à présent ces victimes sont dans une destination inconnue et les bourreaux n’ont rien dit jusqu’aujourd’hui.
Ça faisait presque des mois qu’aucun cas de kidnapping n’était signalé dans le groupement de BINZA territoire de Rutshuru, mais nous ne sommes pas entrain de comprendre, comment les civils peuvent être des réfugiés dans leur propre pays au moment où nous avons des autorités chargées de leurs sécurité mais hélas. Il s’agit notamment d’enlèvements,on signale les cas d’enlèvements et les victimes sont libérées, après seulement le paiement d’une rançon “, explique Aimé Mukanda MBUSA.
Dans un entretien avec un reporteur de kivuavenir.com ce mardi 06 septembre 2022, celui-ci à indiqué que la bonne manière de décourager ce système d’insécurité dans cette partie de la RDC,nécessite la mobilisation tous azimuts pour mettre fin à ce phénomène qui refait surface a-t-il renchérit que son entité venait de faire plusieurs jours sans qu’il ait enregistré un autre cas de kidnapping.
- Il demande au gouvernement congolais de coopérer avec les réseaux de télécommunication mobile pour chaque fois identifier les kidnappeurs et leurs proches qui rançonnent souvent moyennant des téléphones mobiles.
Jeremie Baraka
