Il occupait une fonction stratégique dans la lutte contre la rébellion du M23 dans la province du Nord-Kivu.
Sa mort intervient alors qu’il faisait face à une procédure judiciaire devant la Haute Cour militaire. Il était l’un des cinq hauts gradés des FARDC poursuivis pour “fuite devant l’ennemi”, une accusation lourde dans un contexte de tensions et d’instabilité sécuritaire dans l’Est du pays, en proie aux violences armées.
Le décès du général-major Alengbia intervient dans un moment délicat pour les forces loyalistes, confrontées à une pression militaire croissante dans la région. Aucune information n’a encore été communiquée sur les circonstances exactes de sa mort.
Ce départ soudain soulève de nombreuses interrogations, tant sur le plan judiciaire que militaire. Le gouvernement et l’état-major des FARDC n’ont, pour l’instant, pas réagi officiellement.