Cette information contient dans une déclaration du mouvement citoyen Kengele-RDC après une étude faite dans la ville de Bukavu en particulier et la province du Sud-Kivu en général.
Pour le président de ce mouvement citoyen, Pierre Nyamuhara, ces résultats ressortent d’un rapport du centre Psychiatrique SOSAME.
Selon Pierre Nyamuhara, le rapport de ce centre psychiatrique prouve en suffisance que de 2017 jusqu’en 2021, plusieurs autres jeunes dont l’âge varie entre 14 à 40 ans sont dans un niveau d’ivrogne aussi élevé, chose qui handicape leurs capacités physique de travailler, soit provoqué la capacité mentale à exercer un travail donné, soit une provocation d’un comportement sauvage et violent dans la société.
Ces statistiques sont en hausse avec le rapport de cette institution pour l’année 2021 jusqu’à 85%.
Cette pratique malsaine conduit d’autres jeunes à se plonger même dans une sexualité non contrôlée liée à la drogue et aux stupéfiants de grande toxicomanie.
« L’acétylcholinolytique de cette toxicomanie conduit à la dépendance où les personnes et particulièrement les jeunes sont déjà tombés dans la toxicodépendance. Il s’observe plusieurs maisons de production, de commercialisation et de consommation des boissons fortement alcoolisées. Notre enquête démontre qu’environ la majorité des jeunes même pour leurs rendez-vous d’amour se font dans les maisons de boisson, ruinant l’avenir car dansant ne pensent plus à planifier leurs vies, la sexualité à risque, le vol, le viol et banditisme, soit 1 sur 3 jeunes se retrouvent dans la toxicodépendance », précise Nyamuhara
Beaucoup de questions qui touchent l’esprit se posent en voulant savoir ce que le gouvernement provincial fait ou prétendre faire pour éradiquer ce fléau dont la jeunesse est victime.
Selon cet acteur de cette de Kengele-RDC, la plus part des usines qui fabriquent ces boissons fortement alcoolisées, appartiennent aux hommes aux pouvoir dont certains d’entre eux seraient des honorables et d’autres de ministres.
Aucun contrôle sur le marché de l’alcool, parfois sur les étiquettes avec mention vin produit en RDC, le taux de l’alcool n’est pas soumis au contrôle de qualité, mais consommés par la population, et particulièrement les jeunes, conclut ce dernier.
Claude Musengero