17 cas d’atteinte à la liberté de presse ont été répertorié par l’organisation Partenariat pour la Protection Intégré PPI, en République Démocratique du Congo.
Ceci est contenu dans un rapport rendu publique ce mardi 03 mai, à l’occasion de la journée internationale de droit de la presse, une journée célébrée la 03 mai de chaque année.
Dans cette statistique, il d’observe beaucoup de violations à l’égard des journalistes, chose causant ainsi l’atteinte à la liberté de la presse.
Selon cette dernière, la province du Sud-Kivu est venue en tête sur l’ensemble du territoire national où il s’est observé le plus grand nombre des violations de liberté de la presse en RDC.
Sur les 17 cas d’atteinte à la liberté de presse répertorié par l’organisation Partenariat pour la Protection Intégré PPI, organisation oeuvrant pour la protection des journalistes sur l’ensemble du pays, le Sud-Kivu a enregistré 5 cas des violations des journalistes.
Dans le tableau sombre de cette organisation, PPI montre qu’après la province du Sud-kivu a enregistré plus de cas des violations des droits des journalistes, la province
L’organisation PPI a dressé un tableau sombre de la situation de la liberté de la presse en RDC ; dont la province du Sud-Kivu vient en tête avec cinq cas, la province de la Mongala vient à la deuxième position avec 4 cas.
Selon le coordonnateur de PPI, Me Pascal Mupenda, les cinq cas de l’atteinte à la liberté de la presse au Sud-Kivu sont entre autres ceux de la journaliste Charline Kitoko de Vision Shala en territoire de Kamituga, dont le mari a tué le 05 janvier 2022.
Dans ce rapport, notre source renseigne que , la cause de la mort de cette journaliste serait d’avoir pris part à la cérémonie d’échange des vœux qu’avait organisée sa radio le 03 janvier 2022.
Tout en condamnant avec la dernière énergie ces actes. Cette structure de droit de l’homme rappelle aux autorités que le « journalisme n’est pas un crime » d’où, elles sont sensés protégé les chevaliers de la plume et du micro dans l’exercice de leur métier.
Après les cas cités par cette ONG, l’année passée lors du vote de la motion de censure contre le gouverneur et son gouvernement en date du 2 décembre 2021, les journalistes étaient les victimes des barbaries policières à l’assemblée provinciale du Sud-kivu.
Alors qu’ils venaient pour couvrir activité du vote de la motion, les chevaliers de la plume se sont vu tombé dans les mains des certains de l’ordre qui se disaient venir pour mettre de l’ordre en sécurisant la population.
Des balles réelles tirées, des journalistes agressés et d’autres blessés après avoir atteint la bale ce même 2 décembre dernier.
Au Sud-kivu la commémoration de cette journée s’est tenue dans la salle Aquarius située à Labotte dans la commune d’Ibanda, ville de Bukavu, où les journalistes réuni au sein de l’Union Nationale de la Presse du Congo UNPC ont réfléchir sur leur métier avant qu’ils partagent un verre d’eau et du pain