![4ème édition du tournoi de Karaté à Goma: le décor est planté pour accueillir la compétition [ Organisateurs]](https://kivuavenir.com/wp-content/smush-webp/2024/11/IMG-20241105-WA0030-360x180.jpg.webp)
Pendant que le président de la République veut réunir toutes les forces politiques dans l’union sacrée, l’Afdc-A du président du sénat et dont le gouverneur de province est membre refuse l’avènement de la philosophie de l’union sacrée au sud-kivu. Ou peut-être c’est une mauvaise interprétation de cette révolution politique initiée par le chef de l’État congolais.
Au-delà de l’objectif principal de réunir toutes les forces politiques autour du chef, l’union sacrée associe tous les partis et mouvements politiques dans la gestion de la chose publique. Une pratique qui est loin d’être une réalité dans la province du Sud-kivu. Dans celle-ci, il est remarcable que le gouverneur Théo NGWABIJE Kasi veut à tout prix s’attirer la sympathie de Bahati Lukwebo.
Selon l’nalyste indépendant et Chercheur en droit Constitutionnel Lucien Buhendwa qui vient de se livrer à Kivuavenir.com venait de constater que l’AFDC-A occupe en elle seule; la direction de l’université du Cinquantenaire, université officielle de Bukavu UOB, la Caisse nationale de sécurité sociale CNSS, la commission nationale de prévention routière CNPR, le marché Bondeko, le ministère et division de mine, la division de petites et moyennes entreprises Pme, la commune de Bagira, celle d’ibanda,… tous ceux-ci sont au-delà du gouverneur de province, directeur de cabinet du gouverneur suivis de plusieurs autres postes.
Selon notre source, la vision du chef de l’État dans son union sacrée,veut voir un partage équitable de toutes les obédiences politiques malheureusement seul l’Afdc-A s’arroge la part du lion au grand mécontentement de la panoplie des partis en province.
Dans son analyse, Lucien Buhendwa estime que la sagesse devrait primer sur le sentimental afin de mieux gérer. A lui d’ajouter que la gestion nécessite une certaine prudence et surtout que la tyrannie n’a pas d’amis d’autant plus que l’opposant d’hier peut être le pouvoir d’aujourd’hui et vice-versa,conclut-il.
Ishara Masirika.
