L’environnement socioéconomique et sociopolitique empoisonné en République Démocratique du Congo en général et au Sud-Kivu en particulier, par les antivaleurs qui ont élu domicile au pays, par la promotion du népotisme, du tribalisme, du trafic d’influence, de la corruption généralisée et de toutes autres formes d’antivaleurs qui gangrènent la société.
Le sphère du monde socioprofessionnel ne laissent pas les jeunes ni s’épanouir, ni respirer; ces derniers repousés au calande grec dans le système de gestion de la chose publique, privés de tout pour leur survie, au vu du caste social créé de toute pièce au pays par les gourroux qui ont tout pris pour eux mêmes, ont privatisé le pays, celui qui ne sort pas de leurs entraillles ou qui n’est pas leur familier ou carrement de leur obediance se verra tout simplement écarté et ne se retrouvera jamais.
C’est dans ce contexte malsain que la jeunesse du Sud-kivu et celle de la RDC se meure par le chômage, la misère chronique, la clochardisation; c’est ceci qu’il y a à retenir du vecu quotidien de la jeunesse
Pour les jeunes, il y a un choix à fait donc: soit accepter tinidement le sort qui lui est imposé et vivoter, soit se mettre par dessus tout au solde de ces gourroux, bourgeois compradores pour chanter leurs éloges, pour certains comme communicateurs ou communicologues… et recevoir en retour des presents, des miettes comme salaire, soit se rebeller carrement au système de chose en se faisant recruter dans un mouvement subversif des gangsters, faute du mieux (rebellions plus nombreuses chez nous, groupes armés, fumeur de chanvre, voleur à main armées…).
Théophile Barhachikubagirwa, ce dernier après plusieurs injustes et déboires subis dans le secteur proffessionnel tant public que privé, il s’est décidé de créer son propre “monde” afin de survivre lui et les siens à l’ignominie de d’arbitraire qui a elu domicile dans le pays en général et au Sud-kivu en particulier.
Ce dernier, contre vents et marrés a créé un bureau mobil, un secrétariat Public de proximité où il vient en assistance à tous les nécessités de la ville de Bukavu* .
Sous son parasol, en plein soleil accablant avec sa machine ordinateur et son imprimante, il est installé au milieux de nulle part à Nyawera attendant les personnes de tout bord de la ville de Bukavu qui viennent le solliciter pour les faciliter sur des questions relatives à l’administration, au secrétariat, en conseils pour leurs affaires, en recherches et consort.
Qu’adviendrait-il pour ce jeune plein d’initiation s’il avait trouvé un moyen financier necessaire, un bailleur de fonds derrière lui pour le soutenir afin de le placer dans les meilleures conditions du travail?
Ou sont ceux qui se ventent à longueur de journée qu’ils soutiennent et veullent promouvoir l’entrepreunariat de la jeunesse au Sud-Kivu et au pays, se demande ce dernier
Y-a-t-il vraiment un autre engagement et une détermination qui depasse celui-ci, à se frayer un chemin dans ce système de chose perverti qui gouverne notre monde et où les antivaleurs l’emportent sur les valeurs?
Il est temps que tous les jeunes épris de changement s’arment de courage copient ce modèle et tentent de penser comme ce jeune homme, Théophile Barhachikubagira
Licencié en sciences commerciales et administratives de l’Isp Bukavu depuis une vintaine d’années, ce dernier, qui après avoir subit l’injustice humaine et la hargne de gens véreux au commende des affaires au pays, il n’a pas baissé les bras. Il s’est relevé courageusement comme un digne fils de la province et survit bon gré malgré en se creant une occupation.
Un appel patetique à toutes les personnes de bonne foi de soutenir ce jeune au carisme patriotique extraordinaire, un message à tous les bukaviens et bukaviennes, jeunes et vieux, riches ou pauvres qui auront besoin de ses services de le rencontrer à NYAWERA, Place Munzihirwa, où il a son bureau mobile pour une assistance sans faille pour toutes vos demande surtout pour ce qui est des activités de secrétariat, d’apuis conseil pour la gestion des affaires, d’expertises diverses, de facilitation en affaire et montage des projets.
C’est bien ici également l’ interpellation de toute la jeunesse du Sud-kivu en particulier et de la RDC en général de se réveiller, de ne plus rester endormie face aux gens qui ne font rien pour ameliorer leurs condotions de vie en leurs creant des emplois, le travail assure l’indépendance dit-on.
Sous d’autres cieux, un dirigeant est reconduit si on evalue sa contribution à l’amélioration des conditions de vies des citoyens par le thermomètre: Combien d’emploi il a créé, combien d’infrastructures construits, quel a été le taux de chômage hier et il est passé à combien aujourd’hui à cause de ses initiative? Quelle est la part du pays dans la production mondiale de tels produits et tels autres produits? La production locale est-elle améliorée?… En dehors de tout cela ces gens ne justifient d’aucun discours pour nous convaincre de les ramener au pouvoir.
L’occasion pour se débarrasser de nos bourreaux arrive bientôt a pas de géant. Ceux là qui ne pensent qu’à eux mêmes et au membres de leurs familles et qui viennent au moment des élections solliciter notre électorat, c’est bien l’occasion de les balayer d’un rever de la main.
Le sogat ” Tusi warudishe madarakani”, ou” zéro élu réélu” doit nous caractériser à tout moment quand nous sommes devant l’urne. Si ceci n’est pas notre discipline actuelle, nous n’avons aucun droit de nous plaindre. On aura hypothéqué encore nos 5 ans de mandat.
L’occasion de voter itile pour les jeunes est là, un jeune ne votera qu’un autre jeune, une autre generation est bien là et peut relever le defi.
Peut être avec un nouveau vent pour gérer la chose public en RDC peut changer la donne et remette les pays sur les rails du développement, et rendre le sourir et le bien être au peuple.
Ce pays nous apparteint tous a dit un jeune sur-revolté de la ville de Bukavu.
Il est dommage que des gens qui ne présentent aucun bilan palpable pour l’intérêt du peuple nous reveinnent pour nous assujetir parceque seulement ils ont amassé toute la richesse du pays.
La Rédaction