Une dizaine des jeunes filles intellectuelles et leader d’opinion représentants chacune une association, un mouvement féminine dans la ville de Bukavu,province du Sud-Kivu ont été sensibilisées sur la prise de conscience pour contribuer à la gestion de la cité et sur la notion du leadership féminin.
C’était ce samedi 20 Novembre 2021 au cours d’une activité organisé à labotte à l’espace connexion Beech.
Selon l’organisateur de cette activité, Me Archimède Karhebwa, la rencontre avait pour but de susciter les filles, l’élite à avoir l’œil regardant sur le comportement de nos représentants, parce qu’il n’est pas admissible qu’ils nous vendent du vent prochainement en nous amenant des paroles que des actions.
Il a appelé aux filles des prendre conscience car le vrai développement ne se passe que dans les réalisations des actes concrets.

Il a également profité de cette occasion pour demander à ces dames et demoiselles d’accompagner la lutte que mène le député national, le professeur Justin Mastaki, pour le développement de la ville de Bukavu.
« Il était aussi question de les sensibiliser à accompagner la lutte que mène le professeur Justin Mastaki. Vous le savez c’est la lutte pour la bonne gouvernance, ses actions, le faire connaître quel est son bilan parlementaire entant que député national », ajoute maitre Archimède Karhebwa.
De leurs côtés, les participantes à ces échanges, félicitent et encouragent le député Justin Mastaki pour cette initative, celle de ranger les filles et femmes de la province du Sud-Kivu sur la première ligne dans le instance de prise des décisions.

Entre temps,ces dernières ont indiquée que souvent les femmes sont sous-estimées par les hommes et par la société, chose qui ne les permet pas de se faire prévaloir.
« A mon avis, je peux dire que certaines femmes se sous-estiment elles-mêmes car elles veulent être prise en charge par les hommes au lieu de se prendre en charge elles-mêmes. Quand leurs maris travaillent, certaines entre ces dernières préfèrent rien faire », explique l’une des participantes.
Elle ajoute que cette façon de faire rend les femmes paresseuses en croyant qu’elles ne peuvent pas se prendre en charge sans l’intervention des hommes.
Signalons que cette séance qui a réunie plus de quarante filles et femmes venues de toutes les communes de Bukavu.
Charles KB