Selon certains habitants, vendeurs exerçant leurs activités en ce lieu, une équipe des policiers déployée chaque soir à cet endroit a partir de 19h30′, insécurise et tracasse fort ces dernières.
« Chaque jour les femmes vendeuses qui excercent leurs activités commerciales doivent abandonné leurs activités juste 20h,et chacune d’elles doit cotisé une somme d’argent de 300Francs congolais dénommé ration des policiers patrouilleurs avant d’abandonner sa table d’étalage. Tout passant qui rentre chez lui après 20h30′ doit faire un excercice citoyen de la cotisation à l’alimentation policière d’une somme allant de 500 à 1000 Francs congolais.
Des taxis ne peuvent plus stationner à ce niveau-là car ils seront Victimes de payage d’argent, surtout les motards qui souffrent et chaque nuit le prix de transport galope sur cet axe par crainte de ces tracasseries. Alexis Mugisho qui rentrait chez lui hier aux environs de 21h est tombé dans les mains de ces policiers qui lui ont dépouillé de tout, s’est retrouvé encerclé par ces policiers, forte intimidation et tracasseries, dépouillé de tout.
Pendant cette même nuit, à 22h,un jeune garçon du nom de Styve Aganze et son taximan qui revenaient de la fête ont connu le même incident jusqu’à échapper au fusillade d’un des policiers.
C’est alors que nous lançons notre cri d’alarme au commandant ville de prendre de mesures idoines afin d’épargner la population de cette forme d’insécurité mais également de maîtriser les tapages nocturnes de certaines maisons de vente des boissons qui contribuent à cet incivisme. »
témoignage un habitant Victime de ces dérapages, Elvis Mupenda coordonnateur de la ligue des jeunes Africains pour la paix et le développement LIJAPD, au micro d’un reporter de kivu avenir.com.
La Lijaped souhaite voir le conseil urbain de sécurité porter son attention sur cette question car le pire peut surgir d’un moment à l’autre si les précautions ne sont pas prises tôt.
Jérémie Baraka