Alors qu’il est interdit par les Saintes Écritures et par certaines lois, des cas de suicides refusent de dire leur dernier mot dans la ville de Bukavu en général et dans le quartier Nkafu en commune de Kadutu en particulier.
Selon certaines études, il se remarque que sont les femmes qui sont victimes de ces cas et surtout, ces femmes sont les responsables de leur mort.
Le cas le plus récent, est celui survenu la journée de ce mardi 4 octobre 2022 dans la ville de Bukavu en commune de Kadutu, au quartier nkafu, sur avenue Cibera aux environs de 08h00, nous renseigne le président de la société civile sous noyau de Nkafu, Julien Namegabe
Selon cet acteur de la société civile, la victime serait une maman répondant au nom de célestine BAHATI âgée d une cinquantaine d’années qui s’ est donnée la mort par pendaison.
Les causes de ce suicide restent jusque-là inconnues, précise ce défenseur de droits de l’homme, Julien Namegabe
Tout en présentant ses condoléances les plus attristées à la famille biologique de la victime et à toute la population de Nkafu, la société civile sous noyau de Nkafu par le truchement de son président se dit vouloir voir le dialogue être au centre dans les différentes familles.
Le dialogue serait la seule solution de lutter contre des cas de suicides dans la ville de Bukavu, du fait que, en qu’en dialogue avec d’autres personnes, on peut les expose les problèmes et cela pourrait aider à trouver des solutions adéquates
Il faut signaler qu’il y a moins d’un mois, une fillette d’environ 8 ans s’était également donnée la mort par pendaison au quartier Nkafu et la cause est resté un mystère
Depuis le début de cette année 2022 en cours, au moins 3 cas de suicides ont été signalés au quartier Nkafu. Malgré les enquêtes en cours, aucune cause n’a été donné par les services chargés de cette question
Claude Musengero