D’après ce mouvement, l’insécurité persiste dans la ville par manque d’électricité alors que la SNEL traine le pas dans la remise du courant dans certains coins chauds de la ville, à cet effet la SNEL ne cesse de se défendre comme quoi cette situation macabre serait causée par la panne du transformateur de RUZIZI I. Pendant que les paisibles citoyens se plaignent de cette situation, le mouvement citoyen il est temps se range derrière la population et donne un ultimatum à la société nationale d’électricité. Nous pouvons constater que plusieurs cas d’insécurités sont enregistrés à l’absence du courant alors que le payement de la facture reste toujours le même et ponctuel à l’égard du paisible citoyen.
Dans cette correspondance, il sied de rappeler que la Snel a promis remettre de l’ordre dans ce secteur depuis belle lurette mais rien n’est visible sur place. Pour ce mouvement, la SNEL doit tenir contre tout ceci dans sa facturation des deux premiers mois de Janvier. Dans l’entre temps, il lui est avertit de s’attendre à des actions citoyennes au cas où ne répondait pas à ses obligations à l’égard de ses abonnés. La contrepartie des frais payé reste un questionnement à l’égard de cette population victime de Bukavu. Dossier à suivre.
Sylvie Malachie