Dans un entretien avec Kivuavenir.com ce Vendredi 12 Février 2021, les jeunes entrepreneurs fustigent les surtaxassions qu’ils subissent de service de l’état malgré qu’ils soient en ordre. Les recouvrements sont énormes alors qu’il y a promotion au pays des activités génératrices des revenues sous l’initiative des jeunes congolais. Un domaine beaucoup soutenu par l’état Congolais en guise d’appui. Pour ces derniers, il faut savoir si c’est à travers les multiples taxes et tracasseries qu’ils sont soutenus par l’Etat.
Contacté l’office de promotion des petites et moyennes entreprises Congolaises OPEC en sigle, signale que seuls les récalcitrants peuvent se plaindre de cette façon car jamais, les entrepreneurs des petites et moyennes entreprises à son encadrement ne se sont plaint aucunement.
Etant un service étatique, l’OPEC reste en bonne relation avec tous les services chargés de la mobilisation des recettes en province, et c’est dans ce sens qu’il ne permet pas que ses membres soient pris en proie car lui-même plaide leurs causes.
Dans un entretien avec Kivuavenir.com, le directeur provincial de l’Opec au Sud-Kivu Jean Paul Lokumu fait savoir que des tracasseries sont inévidentes dans le secteurs des affaires et que tout celui qui évite son institution avant de se lancer sur le marché reste toujours victimes de ces dernières.
Notre source signale que l’Opec encadre les entrepreneurs en leurs orientant sur la voie normale à suivre à travers des taxes et impôts qu’ils doivent payer afin d’éviter toutes les illégalités qui créent les tracasseries dans le monde des entrepreneurs.
Outre cela, l’OPEC aide ses membres à se solidifier et à aller de l’avant moyennant des crédits issus des institutions des microcrédits jusqu’à quitter la petite entreprise pour devenir moyenne et afin de finir par une grande entreprise. L’amélioration du climat des affaires étant son cheval de bataille, l’Opec reste déterminer à aller de l’avant avec tous ces entrepreneurs qui ont accepté se former sous ses ailes et qui ne payent que de taxes légales, celles reconnues par la loi.
Le contraire ce sont ceux-là qui ne sont pas enregistrés à l’Opec qui crient haut et fort du jour au lendemain qu’ils sont tracassés seulement par ce qu’ils ne savent pas ce qui est légal et ce qui ne l’est pas.
«Si vous refuser d’être coacher et encadrer, vous serez à la merci des tracasseries, tous ceux-là dont les noms figurent dans la base des données de l’Opec ne peuvent jamais parler des tracasseries car ils sont formés, peuvent être recommandés pour accéder au crédit, sont protégés et défendus en cas de besoin. Seulement c’est moyennant 20 dollars américain qu’ils sont ainsi assistés annuellement. En collaboration avec les services d’assiette, tout débutant a une dérogation de trois mois que l’Opec lui délivre pour éviter toute forme de tracasserie. Que tous ces hommes et femmes qui cherchent à entreprendre passent chez l’Opec pour leur accompagnement et orientation on vous aide pour la création et émergence de ton entreprise et celui qui veut se lancer sans nous, bon vent sans oublié que celui qui se sépare des autres a toujours ses difficultés que les autres n’ont pas. » Éclaircit le directeur provincial de l’Opec Jean Paul Lokumu.
Les jeunes entrepreneurs devraient éviter de travailler d’une manière clandestine afin d’échapper aux malins qui se font passer pour agents de l’état pour tracasser ces derniers. En suite il faut retenir que l’argent qu’ils seront entrain de perdre dans ces tournures sera colossal que ce qu’ils payeront chez l’Office de promotion des petites et moyennes entreprises congolaises.
Ishara Masirika