Pour lui, une Démocratie piègée à été fabriquée qui malheureusement n’a pas rencontré les attentes de la population congolaise, investissant Joseph Kabila au sommet de l’État dans son investiture par des gens qui étaient avec Mobutu ayant été vaccinés d’une luxure et immoralité politique. Ils ont agenouillé, chlochardisé et chosifié le peuple congolais durant tout le règne de Mobutu . Ils ont usé de tous les moyens pour venir refaire leur caste des prédateurs en améliorant et perfectionnant leurs méthodes avec Joseph Kabila, parvenu et néophyte politique arrivée par hasard au sommet de l’Etat congolais . Cette oligarchie renforcée après les élections de 2006, soit dans Une dictature démocratique s’est dévoilée avec les élections de 2018.
Pierre Nyamuhara, renseigne qu’avec ces dernières ,ils ont vu un président de la République qui n’avait pas la majorité et d’ailleurs la qualité des ces élections qui a été contestée par certains acteurs politiques d’où la fissure de la Nation. Deux ou trois autres régions ne pouvaient pas accepter d’autres régions du fait que certaines provinces veulent accuser d’autres d’aboir volé le pouvoir qui appartenait a leurs fils, et aujourd’hui cette division s’incarne sans effort au niveau national pour nécessitant une réconsiliation nationale afin que le pays puisse sortir dans cette crise électorale de 2018.

Celui propose un dialogue censeur basé sur la vérité,la justice et la réconsiliation ,cette Trinité de la paix est la seule solution pour renfonder l’État congolais . Sur ce, il faut impérativement sanctionner les gens qui ont commis les atrocités et la prédation du patrimoine commun, précise Pierre Nyamuhara.
Le président Félix Tshisekedi n’aura d’autres choix que de réformer. Un défi délicat.
Des « signes de rupture », des « pas dans la bonne direction », des « gestes positifs »… Ces éléments de langage reviennent souvent lorsqu’il s’agit de qualifier les deux premières années de Félix Tshisekedi à la tête de la République démocratique du Congo. Il s’agit là sans doute d’un brin d’optimisme après les 18 années difficiles du règne de Joseph Kabila, son prédécesseur. Près de deux décennies marquées entre autres par les graves violations des droits de l’homme, l’expansion de l’insécurité dans le pays et les détournements de fonds publics. « Nous avons vécu au cours des décennies des périodes d’incertitudes et d’extrêmes tensions dans un climat politique non apaisé », rappelait d’ailleurs Félix Tshisekedi, le 24 janvier, lors de son discours d’investiture, à Kinshasa.

« Deux ans après nous sommes dans une grande surprise parcequ’au lieu que l’actuel président qui a pris les commandements assume ses fonctions régaliennes ,au contraire il dirige le pays avec les accords,et ceux ce qui ont prongé le pays dans la misère aujourd’hui », regrette Juvenal Lushule ,acteur de la société civile Sud-kivu et coordinateur de l’association pour la promotion intégrale des albinos (APIA)en sigle.
Aujourd’hui ,nombreux s’interrogent sur la direction réelle que la République Démocratique Congo pourrait prendre sous Félix Tshisekedi. Le président de la RDC sait-il où il voudrait bien conduire le pays ? S’interrogent certains congolais.
Selon certains acteurs sociaux,politiques et administratifs contactés par la rédaction centrale de KivuAvenir.com,la volonté de rupture politique et continuité du système.
À l’extérieur du pays, Félix Tshisekedi prétend vouloir « déboulonner le système dictatorial qui était en place » en RDC.
En RDC, les consultations initiées par le chef de l’État congolais n’ont pas plu à la famille politique de l’ancien président avec laquelle il est pourtant en alliance. Des proches de Joseph Kabila levent le ton, prévenant qu’ils ne se laisseront pas faire. D’autant que le Front commun pour le Congo (FCC), plateforme de leur “autorité morale”, a ‘’raflé ‘’l’essentiel des sièges au Parlement et aux assemblées provinciales. Et l’ancien président conserve encore une mainmise sur l’appareil sécuritaire du pays.
Décodage : nous sommes prêts à en découdre.
Alors, très vite, dans l’entourage de Félix Tshisekedi, l’on a fait appel aux sapeurs-pompiers pour éteindre le feu. Ce n’est pas le moment d’engager le bras de fer, pensent certains analystes politiques rencontrer par Kivu avenir.com
Pour eux, Félix Tshisekedi se trouve dans les difficultés de diriger la RDC, parce qu’il a caché à la population le vrai contenu des accords qu’ils auraient signé avec Joseph Kabila. Dans sa campagne, Félix Tshisekedi promettait de ramener la sécurité, de mobiliser « une enveloppe budgétaire de 86,71 milliards de dollars », répartie sur dix ans. Comment y parviendra-t-il ? D’autant qu’il ne dispose pas encore les gens qui vont l’accompagner dans cette politique? Se demande Juvenal Lushule.
Nos sources pensent que, malgré les mesures encourageantes que Félix Tshisekedi a pu prendre – grâce présidentielle, libération des prisonniers politiques et d’opinion, ouverture des radios et télés privées,fermeture de quelques cachots de l’Agence nationale de renseignement, malheureusement qui continuent à se faire attendre sur toute étendue du territoire national et dont nombreux congolais (es) sont victimes ; un programme d’urgence axé essentiellement sur la construction et la réhabilitation des routes et des ponts entre autres, qui est la cause de la condamnation de son allié politique Vital Kamerhe aujourd’hui en prison. Il ne lui sera pas facile de développer sa vision politique. Le président paraît pris au piège : entre promesses de rupture faites aux Congolais et impossibilité immédiate de s’affranchir de Joseph Kabila, son « partenaire de l’alternance »,qui a agenouillé des milliers des congolais durant 18ans de son pouvoir. Selon ses propres termes, il se retrouve ainsi dans une situation inconfortable,Pour mieux comprendre les défis auxquels il fait face.
Contactés sur le sujet, deux officiers, encore placés à la tête de services de sécurité ou de commandements militaires, cachent à peine leur loyauté indéfectible à Joseph Kabila. Ils font partie de ces haut-gradés qui ont mené la campagne victorieuse de l’Alliance des forces démocratiques pour la libération du Congo (AFDL), en mai 1997. L’ex-président, alors jeune afande, faisait partie de l’épopée. Près de vingt-ans plus tard, beaucoup de ces anciens compagnons de lutte ont su mettre en place un système d’enrichissements personnels, comme l’ont démontré différents rapports de chercheurs indépendants, voire ceux d’experts onusiens. L’affairisme de certains d’entre eux, notamment dans l’exploitation illégale des ressources naturelles dans le territoire de Beni, n’est pas étranger à la persistance de l’instabilité dans cette partie de la RDC. D’autres sont régulièrement cités pour des cas de violations des libertés publiques et des droits fondamentaux.
Pour ces derniers le grand défi que Félix Tshisekedi devrait relevé serait de transformer cette armée-fait privé en une « institution véritablement républicaine », comme il l’a promis. Mais comment compte-t-il y arriver ?
Des réformes démocratiques superficielles ou en profondeur
sans doute moins casse-gueule mais tout aussi glissant, le chantier de la réforme du système électoral. Bien qu’il soit l’un des bénéficiaires du chaos et des irrégularités des élections du 30 décembre 2018, Félix Tshisekedi répète qu’il faut penser à des « ajustements appropriés » du système électoral. Les allégations de corruption massive pendant les scrutins indirects pour les sénateurs et les gouverneurs ont renforcé le mécontentement autour des élections. Le mandat de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) qui a expiré en juin passé aujourd’hui Félix Tshisekedi à difficile de notifier Ronsard Malonda élu par les confessions religieuses comme président de la CENI.
« Le pays navigue à vue. On ne sait pas vraiment quelle direction le commandant de bord va prendre », confie un de ses proches.
Problème : ce flou artistique concerne plusieurs questions d’intérêt national, à l’instar de la législation minière, du positionnement de la RDC sur la problématique du changement climatique, des axes prioritaires du projet de société du président au-delà du « programme d’urgence », …
Juvenal Lushule, l’un des acteurs sociaux contactés par votre Rédaction centrale, précise que la population congolaise mène une vie très critique actuellement donc pour lui rien n’est change pour donner aux congolais l’espoir de demain,car ils souffrent plus qu’à l’époque de Kabila acause de leurs accords qu’ils ne veulent pas dire aux congolais.
Nombreux des congolais n’ont pas espoir dans ces consultations qui se déroulent en RDC,car un pays ne peu jamais être dirigé par des mots comme: consultation, réconciliation, dialogue ect.
Les congolais aujourd’hui ont besoin des actions comme il l’avait promis lors de sa campagne et dans ses différents discours à la nation. »Nous ,on veut voir le président actuel agir, prendre une décision qui sera respectée par tout le monde sans exception et non d’abord consulter celui qui a déjà fini son mandat, et chose étonnante c’est de voir qu’avant et pendant Félix Tshisekedi nous étions et nous continuons à être dirigés par les mêmes individus donc en bref Félix Tshisekedi ne dirige pas la RDC » pensent certains observateurs. Pour ces derniers les consultations aujourd’hui dans le pays ne sont pas une solution,car certains cherchent les positionnements.
La Rédaction