En plus de ces actes de violence extrême, plus de 112 cas de torture corporelle ont été signalés, illustrant la brutalité des forces occupantes envers la population locale. Le gouvernement a également attiré l’attention sur les disparitions forcées, le recrutement forcé de jeunes, y compris des enfants, et les cas répétés de viols. Ces violations graves des droits humains contribuent à un climat de terreur et d’insécurité persistant dans ces régions.
Par ailleurs, le gouvernement congolais affirme que les forces occupantes ont mis en place une administration parallèle, sapant ainsi l’autorité et la souveraineté de l’État congolais sur son territoire. Ces développements ont conduit à un renforcement des tensions dans la région, avec des implications potentielles pour la stabilité nationale et régionale.
Face à cette situation critique, le gouvernement de la RDC appelle à l’intervention de la communauté internationale pour mettre fin à ces violations des droits humains et rétablir la paix et la sécurité dans les zones affectées. Le renforcement des forces de l’AFC/M23/RDF est perçu comme une menace directe à la souveraineté de la RDC et nécessite une réponse urgente et concertée pour protéger les civils et rétablir l’ordre.
La situation demeure volatile, et le gouvernement congolais continue de documenter ces abus dans le but de demander des comptes aux responsables de ces crimes, tout en cherchant des solutions diplomatiques et sécuritaires pour résoudre cette crise humanitaire grandissante.