Sud Kivu: La Mairie de Bukavu abord d’implosion, « si rien n’est fait »

À une source de nous rassurer, le Maire ai de la ville de Bukavu, M. Sumuni Mukunda Darius, aurait lui même a son premier adresse dans le cadre d’une réunion d’urgence tenue le Mardi 12 janvier 2021 à la Mairie à l’intention des tous les chefs de Bureaux et chefs des services de cette institution, promis de rétablir l’ordre institutionnel dont la discipline au sein des différents services en vue de finir toute tentative visant la discriminatoire entre membre.

De ce jeux des mots, Le Maire ai, avait fait promesse de payer sans discrimination le salaire des agents chaque fin du mois,  en invitant ces derniers de bien prendre soins de leurs attributions chacun à ce qui le concerne.

Depuis ce temps, constate notre source, le discours est resté rusé car,  il s’observe une monté des cas des violations de procédure administrative avec accent sur une discrimination fondée sur les appartenances tribales, la méfiance des textes réglementaires…et à cela s’ajoute d’avantage plusieurs cas d’usurpations des pouvoirs où l’on constante, certains tendent vers le nom respect des unités ainsi que la chaines de commandement.

Sur le pas de son prédécesseur ?

Les mêmes causes produisent les mêmes effets. Pas plus loin,  le 26 février 2021 au premier paie des agents sous l’homme actuel, quelques jours après sa promesse, jaillit  son premier scandale.

D’après notre source ,M. Darius Sumuni aurait autorisé aux mandataires de sortir une ancienne  liste laissée par son ancien frère du tribut, (Rega) ,Mr Philémon Yogolelo, (prédécesseur de Mr  BILUBI) en vue de s’en servir pour déclasser tout agent affecté par M. BILUBI ULENGABO Meschac.

*Le Maire en suspension à lui seul de payer les agents de surplus* ajoute la source avant de regretter que *plusieurs personnes qui travaillent durement ont été ignorés sur la liste de paie. De ces victimes, peut-on trouver ces mamans balayeuses qui cherchent difficilement la survie de leurs enfants. Parmi ces dernières, une trentaine à-peu-près isolée de la liste de paie. Aujourd’hui, elles sont traitées par le Maire ai de rebelle. Une allégation qui frise la discrimination tendancieuse* conclut notre source. Par ailleurs des conflits latente sont à constater et des attaques multiples allant dans plusieurs sens contre ceux-là qui ont avoués leur détermination à rétablir l’ordre dans cette institution publique.

Plusieurs interrogations restent à savoir au sujet du silence de l’autorité urbaine qui avait promis de faire la différence face a cet état de chose qui n’inspire confiance.

Marie Solange