C’est le résultat du Constant alarmant fait ce lundi 31 Mars 2025 par un journals de votre Média, lors d’une descente qu’il a effectuée dans différents quartiers de la ville de Bukavu en général, et particulièrement en Commune d’ibanda.
L’un de ses quartiers stratégiques où la loi se fait entendre au conditionnel, le quartier Panzi, comptant 88 avenues, regorge un camp militaire aujourd’hui saboté sous ordre des autorités compétentes en place.
Le samedi du week-end dernier, les tôles avaient été retirées sur les maisons et les propriétaires qui sont principalement femmes des soldats, n’ont pas eu accès aux outils issus de leurs maisons que moyennant une somme d’argent.
Le chef de quartier Panzi, ayant également adhéré au mouvement du 23 Mars, Bahati Bashaga Émilie n’est pas concerné ni impliqué dans cette démolition.
Représentant du pouvoir en place au quartier Panzi, Monsieur Bahati Bashaga Émilie a précisé devant la presse locale qu’il s’agit d’un ordre en pleine exécution et qu’il n’est pas impliqué dans cette affaire, contrairement aux rumeurs étalées sur l’étendue du quartier.
Des faits convergents.
Certaines sources ont fait apprendre que, Cet espace a été détruit pour que l’on procède finalement à la vente.
Ces actes perpétrés à ciel ouvert nécessitent une réprimande sans Précédent.
Notons que, depuis le départ conditionné des FARDC Vers des lieux divergents de la Province du sud Kivu, des particuliers ont tenté de s’approprier le Camp militaire de Panzi, y installant des kiosques et boutiques de vente des produits alimentaires, sous l’oeil silencieux des autorités.