Ils ont formulé cette recommandation au cours d’une émission sanctionnant la formation sur le droit international humanitaire de la presse pour la sécurisation des journalistes et leurs maisons de presse dans les zones en conflits armés. C’était ce jeudi 17 à Baraka.
Selon ces chevaliers de la plume, plusieurs cas d’atteinte à la liberté de la presse sont rapportés lors de la couverture et la diffusion des évènements ayant trait à la situation sécuritaire, d’autres par contre ont du mal à accéder aux sources d’informations fiables.
Une situation à la base de la désinformation,panique ou psychose au sein de la communauté.
Pour le facilitateur du jour Me Alfredy Wilonja ,les chevaliers de la plume ont droit à la protection car ne faisant pas partie des protagonistes. D’où leur liberté d’informer et d’accès aux informations de qualité de la part de toutes les parties en conflits qui doit leur être garantie.
Wilondja a précisé que le DHI s’applique dans les zones en conflits armés afin de protéger les personnes ne faisant pas ou plus partie aux conflits parmi lesquelles les journalistes.
Les autorités locales ( administration locale,et services de sécurité) ont promis d’améliorer leur collaboration avec la presse et lui apporter secours en cas de nécessité.
Signalons que cette activité est organisée par l’Association des Femmes des médias AFEM avec l’appui financier de Free Press à travers le projet *sécurité des journalistes* mis en oeuvre pendant une période de deux ans.
Pour AFEM/ Nelly Adidja