La phase de play-off n’avait pas connue une fin normale par les amoureux du ballon, des agressions étaient nombreuses lors des grands rendez-vous et pourtant la loi nous appelle à bannir les comportements des barbaries au stade pendant le match.
Tout a commencé le jour de la demi-finale du championnat local de l’Entente urbaine de football de Bukavu entre l’equipe de Ciriri à la formation de Kivu football club suite à une hésitation du sifflet de l’arbitre central Toussaint, et pourtant ce dernier semblait indiqué un cinq mètre cinquante selon son mouvement mais il y a l’assistant numéro un, Asifiwe Kitungano qui soulèvera son drapelet comme quoi au départ il y a une faute que l’arbitre central n’avait pas vu.
Après analyse, certains observateurs avaient estimé pourquoi l’assistant n’a pas directement signalé la faute puisque c’était en pleine surface de réparation pour ramener la balle dans une zone où l’action n’était pas liée.
Un débat autour de cette action mais ça reste une décision arbitrale.
C’est cette action qui sera à l’origine d’une main en pleine surface de réparation pour permettre à Ciriri d’égaliser sur penalty pendant que Kivu menait au marquoir (1-1).
Après le match, l’entraîneur adjoint attaque Asifiwe Kitungano pour n’a voir pas était au milieu de l’église selon cet entraîneur.
“Après avoir vérifié les images que nous avons suivi sur l’agression de l’arbitre n’ont pas honoré le football que nous pratiquons et que nous vivons malgré les erreurs remarquées lors de ce match ; nous devons mettre en tête les trois résultats qui existent dans un match de football, c’est aux équipes de faire en sorte que les joueurs et supporters aient une notion des lois de football.
Malgré, l’arrivée tardive de la sécurité, l’arbitre était déjà touché et il faut que les organisateurs du championnat tiennent compte de la sécurité durant le match”, renseigne un analyste sportif qui avait assisté à cette rencontre.
On joue la demi-finale, les émotions, les esprits étaient difficiles à digéré par les joueurs de Kivu voir même les fanatiques après plusieurs années sans franchir cette étape il fallait que la sécurité soit à la qui-vive.
Les équipes doivent prêcher le fédéralisme au milieu de leurs fanatiques.
L’étape suivante c’était la finale, et c’est Ciriri face à Mulambi.
Partant d’un trio arbitral habitué au grand rendez-vous au stade de la concorde de Kadutu, Justin Mugula arbitre central, Bienfait assistant un, Gradel Mbilizi comme assistant numéro deux et Bakasu arbitre protocolaire, le public était confiant au départ.
Qu’est-ce qui a tué ce match que ce n’est pas cette hésitation arbitrale de l’AC Justin Mugula après une faute du défenseur de Mulambi et, pourtant au départ le joueur avait réussi à toucher la balle mais l’arbitre indiquera que c’est une faute et pourtant, il était un peu loin et, il devait communiqué directement avec son assistant pour s’acquérir davantage de cette action avant de prendre une telle décision en étant à distance.
Après le match, comme se fût le cas, d’ailleurs lors de la demi-finale, l’arbitre Justin Mugula sera agressé par les joueurs de Mulambi, qui n’étaient pas d’accord avec sa décision qui, selon Mulambi a permi à Ciriri de nous gagner pendant que nous étions à la recherche de notre but s’exprime les joueurs de Mulambi.
L’arbitre étant un humain peut se tromper nous devons étre conséquent de nos comportements anti-sportifs.
Après ce match les journalistes avaient condamné ces actes de violences enregistré au stade.
Il est nécessaire que l’Entente prenne des mesures disciplinaires à l’endroit de ceux-là qui ne savent pas le rôle de l’arbitre.
Prince Ombeni