C’est l’antibiogramme du pouvoir : Elle définit toutes les règles juridiques.
La constitution de la RDC n’a jamais été respectée depuis 1960 suite à la mauvaise interprétation de la constitution, dont la crise de 1960 entre Kasavubu et Lumumba, celle de 1964 avec Mobutu et tant d’autres.
Dans la foulée, il a aussi signifié que la constitution de 2006 amenée par Joseph Kabila est mal menée, tiraillée de gauche à droite.
A l’en croire, “Tout le monde parle au nom de la constitution mais personne ne respecte cette constitution ” dit-il devant la foule.
Par conséquent l’orateur du jour invite la jeunesse kabiliste à continuer de défendre la loi fondamentale.
-Le combat pour le respect de la constitution ne doit pas être temporaire ou circonstanciel, mais il doit être permanent et structurel ;
-La constitution est une affaire des gens civilisés, ceux qui l’animent sont appelés excellences. ce n’est pas un droit d’affrontement, ni des bavards scientifiques.
– Chercher le salut du peuple c’est bien, mais ce qu’il faut savoir c’est que : le peuple a cristallisé son salut dans la constitution. D’où qui veut le salut du peuple doit respecter la constitution.
Se référant à l’article 64 de ladite constitution, le Professeur Jacques Ndjoli appelle le peuple congolais à défendre cette loi suprême. La première protection d’une constitution est la protection populaire, c’est le peuple congolais qui est à priori, le protecteur de cette constitution. l’article 64 lui donne ce devoir de la défendre.
La deuxième est la protection institutionnelle.
La troisième c’est la protection de la cour constitutionnelle.
Signalons que cette matinée a été organisée par ces Jeunes de Joseph Kabila en vue de pérenniser leur combat de la défense de la constitution.
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