L’Action des Jeunes Révolutionnaires pour l’Equité Citoyenne AJREC demande au président du Bureau de Coordination de la société civile du Sud-Kivu d’adhérer bonnement dans un parti politique d’opposition pour bien jouer son rôle, au lien de se cacher dans la société.
Ceci est contenu dans une mise au point faite par cette structure de la jeunesse, ce samedi 17 juin 2023, avec une copie réservée au média en ligne Kivuavenir.
Selon l’esprit de ce document, ces jeunes disent ne pas comprendre le pourquoi des agitations du président de la société civile Adrien Zawadi, lesquelles sont à tout moment orientées vers le pouvoir exécutif en Province.
Cette structure des jeunes fustigent la récente déclaration du président de la société civile du Sud-Kivu, une déclaration selon eux jugée politique.
Ils soulignent que ce dernier est devenu plus avocat ” des personnes qui travaillent pour déstabiliser la province ” que d’être centriste, en jouant un grand rôle pour la stabilité de la stabilité et le développement de la province.
” Sa déclaration plus séparatiste, très plaintive semble justifier une dette morale contractée auprès des acteurs politiques “, soulignent-ils.
Ces jeunes révolutionnaires ajoutent;
” En écoutant ses propos, il évoque beaucoup d’irrégularités que connaît aujourd’hui la province, difficultés pour lesquelles d’ailleurs, lui même est agent causal et cela en acceptant de jouer un rôle important dans la manipulation politique qui aujourd’hui bloque le décollage du développement de la province due Sud-Kivu”.
Étant, membre de la société civile, l’Action des Jeunes Révolutionnaires pour l’Equité Citoyenne AJREC demande à l’actuel président du Bureau de Coordination de la société civile du Sud-Kivu, de se choisir en homme libre d’esprit, soit adhérer officiellement et publiquement dans un parti politique d’opposition, ou soit reste à la société Civile, comme une église au milieu du village.
” L’honneur de la province reposé entre les mains de ses dignes filles et fils soucieux de son développement”, concluent les Jeunes révolutionnaires.
Christine Wabiwa