Ces derniers sont dentifiés comme membres de l’Unité de protection et hautes institutions (UPI/HP) en détachement à la Primature.
Les informations à notre Possession affirment que, Ces 7 prévenus sont poursuivis pour des actes de violences volontaires ayant conduits à la mort sans intention de la donner et violation des consignes.
Notre source ajoute également que, lors de la première audience tenue dans la commune de la Gombe, à Kinshasa, les juges ont procédé à l’identification formelle des prévenus, parmi lesquels figurent deux commissaires supérieurs adjoints, deux sous-commissaires, un brigadier en chef et un agent de police.
” La justice militaire cherche à établir les responsabilités individuelles dans ce drame, survenu après que le brigadier Kabeya aurait tenté d’interpeller le cortège de la Première ministre pour une infraction routière”, affirme Radio Okapi également, qui augmente brusquement qu’à cette première audience, les avocats de la famille victime ont sollicité la comparution de la République comme civilement responsable.
La prochaine audience est fixée vendredi 11 avril 2025.
Contexte et réactions
Des vidéos virales, dont l’une montre un collègue anonyme du défunt dénonçant une « exécution » liée à l’exercice de ses fonctions, ont alimenté l’indignation publique en RDC. Me Carlos Mupili, activiste des droits de l’homme, avait appelé il y a quelques jours, à l’ouverture d’un procès équitable pour faire la lumière sur la mort du brigadier, avons-nous déniché sur la page officielle de la fréquence de la Paix.
La partie civile et des activistes des droits humains, réclament une transparence totale, notamment sur le rôle exact des accusés dans cette agression mortelle, concluent nos sources.